1. Jimmy, ex star du porno gay


    Datte: 03/08/2018, Catégories: hh, jeunes, copains, grossexe, vidéox, journal,

    ... jets très puissants, très abondants, et qui portaient loin (plus de 2 mètres, je crois, un truc de dingue). Au fil des années, je suis peu à peu devenu un peu la star du lieu : belle gueule, belle queue, mais surtout des éjacs abondantes, une capacité à recharger très vite et une queue bien dure, même si elle est quand même moins dure que les petites bites de 15cm. Dure en ce sens qu’elle tient bien l’horizontale sans aide, mais au contact elle est plutôt comme du plastique moussé dans lequel les doigts s’enfoncent un peu. Alors que les petites queues ordinaires sont raides et dures comme des os. Je me suis farci des minets bien dessinés dont j’ai déboité le cul comme jamais : avec eux, j’étais capable aussi bien d’être doux et aimant que de faire le marteau -piqueur frénétique. Je crois que mes partenaires n’ont pas simulé leur plaisir. De même, j’ai ramoné de gros bodybuilders que j’avais plaisir à dominer, moi qui pesais 20 ou 30 kg de moins qu’eux. Ce qui est drôle, ce sont bien sûr ces stéréotypes : il faut que le gros calibre ne soit qu’actif, il ne peut pas se faire mettre à l’écran sous peine de détruire son image de mâle dominant. C’est ce que veut et attend le public. Alors que le plaisir de la sodomie n’est pas réservé aux passifs : un actif, s’il préfère majoritairement trouver son plaisir dans la domination apprécie aussi de temps en temps de se faire prendre : alors, hors caméra, quelques fois, on finissait la scène entre nous et je laissais un de mes ...
    ... partenaires se finir dans ma rondelle. C’était assez excitant pour ces passifs d’enculer l’actif à grosse queue, grosse queue que je branlais pour les allumer un peu plus pendant qu’ils me ramonaient de leur petite queue bien dure. Ça a été le doigt dans l’engrenage : 4 années de porno à tourner 5 jours sur 7, à raison de 3 ou 4 éjacs par jour. J’y ai pris goût : j’ai de gros besoins en fait. Mais je voyais aussi l’envers du décor : les acteurs plus âgés, vers 35 ans, qui avaient du mal à bander ou à garder leur érection, et qui n’avaient qu’une éjac par jour. Ils devaient se soutenir au viagra. Voilà pourquoi les grosses bites paraissent souvent molles dans les pornos : ce n’est pas tellement un problème de gabarit (j’en suis la preuve, je bande à fond malgré mes 23 cm) mais d’usure et de fatigue, l’instrument étant trop sollicité et le sexe à haute dose émoussant l’excitation. De mon côté, je me suis aperçu que dans 10 ans, je serai comme eux : besoin de stimulant, soit chimique (viagra) soit manuel (se branler avant une prise, le cul ou la bouche de l’autre ne suffisant plus à déclencher l’érection). Je savais aussi que si tout marchait bien actuellement pour moi, je serai aussi un jour détrôné par plus jeune et mieux monté que moi. Surtout, la dernière année, j’étais devenu un addict au sexe, qui a besoin de sa dose quotidienne mais qui n’y prend plus spécialement goût. Quand on se prend 2 ou 3 culs par jour soit 500 par an, il est plus difficile d’être excité. J’ai bien sûr ...
«1...3456»