Elle cherchait une colocataire
Datte: 04/08/2018,
Catégories:
f,
ff,
Masturbation
Oral
fdanus,
fsodo,
nostalgie,
Lesbienne
... détente et de conversation très agréable. Puis Christelle retournait à son travail. Moi, je retournais dans ma chambre, lire et écouter de la musique. Vers dix heures j’allais dans la salle de bains et je me préparais pour la nuit. En général, je frappais chez Christelle pour l’inviter à prendre une tasse de tisane dans la cuisine et nous bavardions encore quelques instants. Elle semblait apprécier cette pause. La salle de bains livrait d’autres renseignements : peu ou pas de cosmétiques, des produits de supermarché, savonnettes et shampoings sans véritable recherche. De lessive en lessive – c’est dans la salle de bains que nous les faisions sécher – j’avais découvert aussi sa garde-robe : des tee-shirts blancs, des débardeurs, quelques robes-chasuble et des jupes en coton toutes simples. Pas de pantalon, mais la saison chaude ne s’y prêtait peut-être pas, pas de soutien-gorge – sa poitrine était toute petite – et toute une série de culottes blanches, toutes pareilles, sans aucune fantaisie. Je n’avais pas non plus un goût prononcé pour la lingerie fine, mais je ne portais tout de même pas des dessous de bonne-sœur. Une chose était sûre : nous avions beau être de la même taille, il ne pourrait pas nous arriver de confondre nos affaires. Tout a commencé un soir où je n’arrivais pas à m’endormir. Il faisait chaud et je me tournais et retournais dans mon lit. Vers une heure du matin j’ai entendu Christelle de l’autre côté de la cloison, qui se faisait couler un bain. Ma ...
... première pensée fut que je devais changer mon lit de place pour ne plus être dérangée. Puis j’ai été prise d’une certaine curiosité. J’ai toujours aimé imaginer les gens, et là je me suis mise à imaginer Christelle dans la salle de bains. Elle ôtait la robe que je lui avais vue plus tôt dans la soirée : elle la tirait vers le haut puis elle l’accrochait au porte manteau. Elle ôtait de même son tee-shirt puis sa culotte et je voyais comme si déjà je les avais vues ses petites fesses plutôt plates. Pendant que la baignoire se remplissait, je la voyais devant la glace qui s’examinait, tâtant ses seins, écartant ses jambes, puis elle se brossait les dents. Mais déjà je l’entendais s’immerger. Mon imagination avait trop traîné et je n’avais pas eu le temps de la visualiser de face et de profil pendant qu’elle entrait dans la baignoire. Christelle avait arrêté l’eau et pendant quelques minutes ce fut le silence. Elle devait se laisser aller à la douce torpeur du bain bien chaud. Puis je perçus distinctement des clapotis: elle devait se savonner, frotter ses mains contre son corps que je n’arrivais pas à me représenter avec une précision satisfaisante. Je n’avais jamais eu de fantaisies féminines, du moins depuis longtemps, depuis l’époque où, jeune adolescente, j’avais découvert mon corps devant ma meilleure copine un soir où je dormais chez elle. Pendant quelques temps nous avions partagé nos caresses maladroites, avant que ne commence l’époque des garçons, et nos jeux avaient cessé. ...