1. Elle cherchait une colocataire


    Datte: 04/08/2018, Catégories: f, ff, Masturbation Oral fdanus, fsodo, nostalgie, Lesbienne

    ... Depuis, quand j’en éprouvais le besoin, c’étaient des fantaisies masculines qui animaient mes mains à la recherche du plaisir. C’est donc avec une certaine surprise que je m’aperçus que les bruits suggestifs qui passaient la cloison provoquaient en moi une certaine excitation. Mes mains descendirent le long de mon corps, je remontai mon tee-shirt sur mon ventre et je m’ouvris à mes caresses. Je m’aperçus bien vite que je regardais Christelle différemment. La chaleur et l’habitude aidant, nous étions de moins en moins pudiques l’une vis-à-vis de l’autre. Il n’était pas rare qu’elle circule dans l’appartement en débardeur et petite culotte et moi dans mon tee-shirt de nuit sans rien dessous. Je devais me l’avouer, cette fille si naturelle me faisait de l’effet. Le comble, ce fut un soir où nous étions en train de boire notre tisane tout en écoutant un comique à la radio. On riait comme des folles. À chaque éclat de rire Christelle ouvrait largement ses cuisses et provoquait en moi un certain émoi. Puis, tout à coup, elle se dit prise d’une envie pressante et elle courut vers les toilettes en me criant de monter le son. Elle laissa la porte ouverte pour ne rien perdre de ce que le comique débitait. C’était sans doute le fruit de mon imagination – comment aurais-je pu entendre avec la radio à fond – mais je perçus distinctement le glissement de sa culotte contre ses cuisses et le bruit de son jet dans la cuvette. J’eus à peine le temps de fermer les yeux que le bruit de la ...
    ... chasse d’eau interrompit mon rêve. Plus tard, seule dans ma nuit, je me suis refait ce film sans images et je me suis caressée encore et encore. Puis il y eut ce fameux soir… Je ne l’oublierai sans doute jamais. Il continuait de faire très chaud et j’avais toujours autant de mal à trouver le sommeil. Nous laissions les portes de nos chambres entrouvertes pour faire circuler l’air frais de la nuit. Un moment, je me suis levée pour aller boire un verre d’eau dans la cuisine. De la chambre de Christelle ne parvenait aucun bruit. Elle n’était pas couchée pourtant, car je voyais la lueur bleuâtre de son écran d’ordinateur allumé. Je glissai un regard par l’embrasure et mon cœur fit un bond. Christelle, de trois quarts dans son fauteuil, me tournait pratiquement le dos. Sa jambe gauche était posée sur son bureau et la droite pendait, largement écartée. Je ne pouvais pas voir sa main, mais les mouvements de son bras ne me laissaient aucun doute : Christelle était en train de se masturber. La gorge serrée, je me suis approchée d’elle, sans bruit. Debout derrière son fauteuil, je voyais les mouvements presque violents de sa main dans sa culotte. Elle ne sursauta pas quand je lui caressai le visage ; toute à la recherche de son plaisir, elle tourna sa tête vers moi et je vis ses yeux presque implorants. Mes mains descendirent dans l’échancrure de son débardeur et je pris possession de ses petits seins aux bouts tendus. Elle gémit. Puis j’allai m’accroupir entre ses jambes écartées. Je ...
«1234...7»