1. Elle cherchait une colocataire


    Datte: 04/08/2018, Catégories: f, ff, Masturbation Oral fdanus, fsodo, nostalgie, Lesbienne

    ... lever, et le soir, en rentrant du ski, je la précédais. Tous les matins je la voyais sortir de la salle de bains enroulée dans sa grande serviette. Elle s’asseyait sur son lit me tournant le dos, elle dénouait la serviette, mettait son soutien-gorge puis sa culotte en se relevant légèrement, et chaque fois j’apercevais l’origine de ses fesses. Les premiers jours distraitement, puis avec plus d’attention et d’envie d’en voir davantage. Le matin où j’ai trouvé quelques poils blonds dans la douche j’ai senti une certaine excitation et pour la première fois je me suis masturbée en pensant à elle, nue, qui m’avait précédée. La semaine s’achevait. La dernière nuit, je me suis réveillée avec une forte envie de pipi. La veille, nous avions fait la fête et j’avais bu un peu trop. Lydie dormait en chien de fusil, partiellement découverte. Son tee-shirt était remonté jusqu’à sa taille et elle exposait ce joli petit cul que j’avais tellement eu envie de voir. La lumière qui filtrait sous la porte me permettait de le voir distinctement. Sa jambe droite légèrement plus repliée cachait entièrement la naissance de son minou mais ouvrait d’avantage ses fesses et laissait voir les ridules qui convergeaient vers son petit trou. Je ne te dis pas mon excitation ! J’avais envie de voir de plus près, de toucher, de me toucher. J’avais peur de faire du bruit, de la réveiller, ou même de la faire bouger et de me priver de cette vision. N’y tenant plus, je me suis précipitée dans la salle de bains et ...
    ... je me suis soulagée, doublement. Quand je suis retournée me coucher, Lydie n’avait pas bougé. Son joli petit cul était toujours là, bien en vue, comme une invite. J’ai eu du mal à retrouver le sommeil. Pour le lendemain, j’avais mis au point une petite provocation. En sortant de la salle de bains, Lydie me trouverait allongée sur le ventre, encore endormie, mon tee-shirt remonté jusqu’en haut de mes cuisses, laissant entrevoir une partie de mon intimité. Réagirait-elle ? De fait, je l’ai entendue sortir de la salle de bains et rester un moment immobile. Je faisais semblant d’être encore endormie comme tous les matins. Elle devait me regarder. Puis elle s’est approchée de mon lit et m’a touché l’épaule en me disant doucement de me réveiller. Ce faisant, elle me découvrit un peu plus. Je répondis un petit oui ensommeillé, sans bouger. Je sentais son trouble, ou peut-être l’imaginais-je. Elle s’est assise au bord de mon lit me demandant encore de me réveiller, mais tout doucement, comme pour me dire de ne pas bouger, puis elle a posé le bout de ses doigts sur ma fesse. Une excitation violente ! Mais je n’ai pas réagi. Elle a parcouru ma raie d’un doigt, lentement, du haut vers le bas. J’ai entrouvert lentement mes jambes pour lui permettre d’aller plus loin et ses doigts se sont insinués jusqu’à l’entrée toute mouillée de mon vagin. Je me suis ouverte davantage pour faciliter sa caresse. Toujours les yeux fermés, j’ai entendu sa serviette tomber au sol et elle s’est pratiquement ...
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