1. J'ai seulement rêvé d'enfer...


    Datte: 04/08/2018, Catégories: fh, couple, voyage, volupté, cérébral, revede, tutu,

    ... désir extrêmement puissant du dernier assaut… Tu rampes vers moi, tes yeux sont effrayants. Je ressens une légère panique mais une envie fulgurante de toi, encore et encore. « Et maintenant, tu vas voir… » Tes doigts pressés délient enfin le corset noir, je suis nue maintenant, tu me soulèves et m’emportes, enroulée à tes hanches. Les tabourets sont à hauteur de ton sexe, tu m’y déposes, tu pénètres ma chatte très fort avec tes doigts, trois tout de suite, je m’accroche aux anneaux, ta main est puissante, la réponse est rapide, une salve d’orgasme arrive encore. Tu saisis le gode en latex, il est aussi gros que ton sexe, tu m’embroches la chatte, tes mouvements sont très rapides, je dégouline et je hurle. Tu as déclenché la fameuse fontaine. Tu abandonnes ton gode, me saisis les jambes, tu les passes dans les anneaux. Je suis écartelée, totalement offerte. Tu frappes doucement ton sexe sur mon visage, tu me tiens par les cheveux, tu le passes sur ma bouche. Tu veux me rendre folle. Tes propos sont obscènes, délirants. Mon excitation est à son comble. Tu prends ton élan, tu accroches mes ...
    ... hanches nues et tu t’engouffres violemment dans mon antre trempée. Tes jambes s’arquent, malgré ma supplique, tu rentres de plus en plus profond, tu es de plus en plus puissant. Je vais m’évanouir tellement la jouissance est incontrôlable, je ne savais pas qu’un tel plaisir existait. Tu te déchaînes encore, tu es captivé par l’image du miroir. Le fauve est sorti de toi, le loup sommeillant depuis si longtemps montre ses crocs. Tes mots sont terribles, te galvanisent de plus en plus, tu te retires et m’enfiles par l’arrière, ton sexe te fais mal mais tu vas encore jouir et cette fois, tu vas peut-être y rester. Tes coups de boutoirs ont eu raison de moi, je pleure de bonheur, je te supplie, je hurle mon plaisir… Un dernier regard dans le miroir, la bête que tu es te plaît et tu jouis comme un damné. Quelqu’un m’enveloppe et me porte. Tu es parti… Mon ami me couche dans mon lit. Il me regarde, contemple sur mon visage endormi l’intensité du plaisir. « Il me l’a cassée… », pense-t-il, « mais un homme faisant jouir une femme comme cela ne peut être le diable, il en a seulement la puissance ». 
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