1. L'animal qui est en toi


    Datte: 05/08/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj,

    ... je m’en fous. Si tu ne te décides pas à me baiser, j’irai voir le prof, il se posera moins de questions, à mon avis… De nouveau, j’ai le palpitant qui repart en zone rouge. D’une part, à cause de ce qu’elle vient de me dire – quand je pense que nous avions décidé de suspendre notre petit duel – mais aussi parce que je m’attends à voir la lumière rouge s’allumer, signe que notre conversation vient d’être entendue. Par bonheur, il n’en est rien, mais il n’empêche que, quand je sors de mon box, mon voisin s’étonne. — Ça ne va pas, Claude ? Tu es tout pâle…— Non, t’inquiète, ça va passer… De fait, un peu d’air frais va certainement me redonner des couleurs. Mais pour cet infernal gourdin qui ne veut pas disparaître, c’est une autre paire de manches, surtout avec un pantalon de costume nécessairement assez large. Dix minutes plus tard, à force de me concentrer sur des choses emmerdantes, le locataire de mon caleçon a repris une taille plus conforme à la normale. Mais, comme à cette grande table en U où nous avons repris le cours classique de notre formation, je fais face à Jennifer, je m’attends à tout, mais surtout au pire. Las, même si elle croise et décroise un peu trop les jambes, je ne décèle rien. En même temps, si elle se risquait à me dévoiler quelque chose, il y a de fortes chances pour que je ne sois pas le seul observateur à ce moment-là. Et si, de toute évidence, elle aime prendre des risques, prendre celui de se faire virer de ce boulot plutôt agréable et ...
    ... surtout pas mal payé ne fait sans doute pas partie de ses prérogatives. Dix-huit heures, l’équipe se sépare, rendez-vous le lendemain. Dans le couloir qui mène à nos chambres, nous sommes enfin seuls et je saisis Jennifer par le bras. — Tu t’es foutue de moi, tout à l’heure ? Tu n’as pas vraiment le cul à l’air ?— Oh que si, tu peux vérifier si tu ne me crois pas… Eh bien, si elle s’imagine que c’est le risque d’être vu dans ce couloir plutôt fort fréquenté qui va m’empêcher de le faire, elle se fourre le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Alors, je la pousse doucement contre le mur, ma main passe entre ses jambes, glisse le long de ses bas avant d’arriver à sa case trésor. Ce qu’elle a dit est vrai… Elle ne porte pas de culotte, et sa chatte, accessoirement, ruisselle bien au-delà des limites de l’imaginable. De nouveau, le barreau, de nouveau, les mains qui tremblent, de nouveau, le cerveau qui n’est plus complètement irrigué. Et, comme si cela ne suffisait pas, elle en rajoute encore une louche. — Derrière toi, il y a une table. Je me fous d’être vue, mais tu n’es pas capable de me niquer, là, tout de suite, sur cette table… Pendant une fraction de seconde, je me dis que je vais le faire. J’ai le sang qui me tape dans les tempes, cette fois je vais craquer, tant pis ! Alors, la prenant par le bras, je l’amène à la fameuse table, je l’assois dessus, elle remonte elle-même sa jupe, je sors ma queue, la libération est proche… Mais c’est à ce moment précis que j’entends le bruit ...
«12...111213...35»