1. L'animal qui est en toi


    Datte: 05/08/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj,

    ... je me demande si un jour il finira par se dégonfler, mais n’y touche pas. — Promets-moi de ne pas bouger. Je reviens tout de suite. Je ne sais pas ce qu’elle mijote, mais quelque chose me dit que cela va encore être ma fête. Lorsqu’elle revient, rien n’a changé, mais elle semble avoir quelque chose dans la bouche. Je ne sais pas ce que c’est mais, comme elle vient de s’agenouiller devant moi, quelque chose me dit que je ne vais pas tarder à le savoir… Quand elle m’embouche, la surprise est totale. Un glaçon ! Elle est allée chercher un glaçon et c’est avec cet accessoire qu’elle entreprend de me sucer ! La sensation est absolument terrible, mélange de douleur et de douceur. Ses lèvres froides courent sur mon gland, sa langue gelée virevolte sur toute la longueur de mon sexe, sa bouche au parfum d’Antarctique m’aspire au plus profond d’elle-même, c’est à mon tour d’être prêt à cesser le combat… Mais la libération ne vient pas. Elle a beau m’astiquer comme jamais, ne me reprenant dans sa bouche que quand ma queue commence à se réchauffer, mes couilles ont beau être prêtes à exploser, cela ne vient pas. En désespoir de cause, j’en suis à essayer de me concentrer sur les courbes de son corps splendide que j’aperçois dans le reflet du miroir, mais rien ne vient. Alors, au bout de ce qui me paraît être une éternité, je la repousse doucement. — Désolé, je peux pas…— Tu peux pas quoi ?— À mon tour, j’étais prêt à rendre les armes, mais je n’arrive pas à jouir… Elle éclate de rire. ...
    ... Pourtant, je ne vois franchement pas ce que cela a de drôle… Surtout que mon bas-ventre me fait toujours aussi mal. — C’est normal, c’est le glaçon qui fait ça. Tu ne voulais quand même pas que je te fasse envoyer la purée tout de suite ? La nuit nous appartient… Sacrée nana que cette Jennifer qui sait, au sens propre, si bien souffler le chaud et le froid. — Bon, on se rhabille et on va manger, maintenant ? J’ai faim, moi… Moi, ce dont j’ai le plus envie, ce n’est pas d’aller manger. Et ce n’est pas cette veste de tailleur qu’elle enfile sur sa peau nue, sans avoir pris soin de remettre quoi que ce soit dessous, ou cette jupe qu’elle enfile de nouveau sans culotte qui va arranger les choses. La bouffe est bonne, au restaurant de l’hôtel. Un peu trop peut-être, au point qu’une petite promenade digestive s’impose. La nuit est tombée, mais l’air reste délicieusement doux et le parfum des fleurs embaume ce soir de printemps. Tous les deux côte à côte sur un banc isolé, nous profitons de ce moment de répit. De temps à autre, ma main glisse nonchalamment par l’ouverture de sa veste jusqu’à un sein que je caresse doucement, ou s’insinue sous sa jupe à la recherche de son sexe brûlant. Quant à elle, sa main tient fermement mon sexe qui semble définitivement avoir adopté la posture du porte-manteau. — Tu sais, ce jeu était mon idée mais je me demande si nous ne devrions pas l’abréger.— Pourquoi ?— Parce que cela va finir par atteindre notre santé mentale… Quand je pense à ce que j’ai ...
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