L'animal qui est en toi
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
... fait tout à l’heure dans le couloir, je me demande si je ne suis pas en train de devenir folle.— Tu regrettes ?— Non, mais comme dirait l’autre, si ça continue, faudra que ça cesse.— Peut-être. Que proposes-tu ?— Je n’en sais rien. Tout ce que je peux te dire, c’est que les trois jours qui viennent risquent d’être épuisants. Elle parle bien évidemment du stage, pas de notre petit défi qui s’éternise. — Si l’on ne dort pas cette nuit, on va jouer l’armée des morts à nous tout seuls demain. Tu en penses quoi ?— Que j’ai terriblement envie de toi, mais que si l’on arrête maintenant notre déception risque fort d’être à la hauteur de l’excitation que l’on a su créer. Ce serait dommage.— Tu as raison, tant pis, on continue. Cela dit, si jeudi soir aucun de nous deux n’a craqué, on joue ça à pile ou face… Parce que si ça continue, il faudra qu’on reparte et nous n’aurons toujours pas baisé.— Ça, ce serait franchement dommageable pour ma santé mentale. Ils ont de bons asiles, par ici ? Elle éclate de rire. — J’espère qu’il y aura de la place pour moi aussi. Bon, pour l’instant, on va dormir. Je ne tiens plus.— Entendu… En même temps, au sujet du sommeil, elle m’a servi quelque chose du même tonneau la veille au soir. On a vu ce qu’il en était advenu. Alors, après avoir échangé un énième délicieux baiser, nous repartons vers la chambre, juste à temps pour croiser notre directeur dans le hall de l’hôtel et le voir rougir comme une pivoine. Jennifer, elle, semble s’en moquer éperdument. ...
... Ce n’est que lorsque nous sommes arrivés à notre étage qu’elle ouvre la bouche. — Tu sais, la petite table de tout à l’heure est toujours là, et à cette heure-ci je ne pense pas que nous serons dérangés. Tu ne me collerais pas un petit coup de bite, là, tout de suite, me demande-t-elle, implorante. Déjà, en temps normal, c’est le genre de question à laquelle, lorsqu’une jolie femme la pose, les hommes ne répondent que rarement par la négative. Mais dans notre cas, avec la pression qu’elle m’a mise depuis maintenant presque deux jours, je préfère en sourire. — J’en crève, et tu le sais très bien. Mais tu attendras encore un petit peu…— Nanan, soit tu me baises là tout de suite, soit je me fous à poil et je vais taper à la porte de l’autre conne… Le pire, c’est que je suis certain qu’elle en serait bien capable. Cela dit, se faire virer de l’hôtel ne serait peut-être pas le meilleur moyen de faire en sorte que notre idylle reste à tout jamais confidentielle. Je décide quand même de la mettre à l’épreuve. — Le dernier niveau, c’est la terrasse. À cette heure, il n’y aura sans doute personne. Tu me reposes la question là-haut ? Elle a alors un sourire carnassier. — D’accord. Mais on monte dans deux ascenseurs différents. Je ne sais pas pourquoi elle me demande ça, mais cela me donne immédiatement une idée. — Vendu… Rendez-vous là-haut. Mon idée en question, c’est de monter jusqu’à l’étage sous la terrasse et finir par l’escalier. Naturellement, je monte le dernier étage quatre à ...