L'animal qui est en toi
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
... mes oreilles : l’ascenseur. Cette fois, nos cris ont dû rameuter quelqu’un et l’on monte. Alors, sans prévenir, je ramasse les affaires de Jennifer et, la tirant par le bras, je la pousse violemment dans l’entrée de l’escalier de secours. Bien m’en a pris, puisque j’entends la voix de trois hommes dont une que je reconnais, celle du directeur. Alors, sans faire de bruit, nous descendons l’escalier, juste à temps comme en témoignent les bruits de pas, juste au-dessus de nous. Les cheveux collés par la sueur, les yeux cernés par la jouissance, les jambes encore flageolantes, Jennifer est pourtant toujours aussi belle. Le temps pour nous de nous assurer que personne ne descend, elle se rhabille, je remets un peu d’ordre dans ma tenue - il y a longtemps que je n’avais vu Marcel au repos - et nous rentrons à notre chambre. Pas un mot n’est échangé. Nous sommes bien conscients qu’une page vient de se tourner. Nous étions collègues, nous voilà réellement amants. Si l’on m’avait dit ça avant de partir à ce stage… Une bonne demi-heure plus tard, l’esprit redevenu à peu près clair après une bonne douche prise en commun, nous sommes tous les deux allongés sur le lit. Une fois de plus, elle est nue et me sourit. — C’est bien gentil tout ça, mais qui a perdu ? me demande-t-elle, coquine. D’un point de vue purement matériel, c’est moi, j’ai mis le coup de reins qui a tout déclenché. Mais d’un autre côté, c’est elle qui a joui – et de quelle manière – la première. — Je ne sais pas. C’est ...
... toi qui décides. Maintenant, tu voulais l’animal qui est en moi, tu l’as eu.— Et comment ! Je ne pensais même pas que cela pourrait être aussi fort. Moi non plus, tu sais, je n’ai rien maîtrisé… Elle reste songeuse quelques instants. — Écoute, voilà ce que je te propose. Comme j’ai crié au moment où tu m’as pénétrée, on va dire qu’on a fait match nul.— Ça me paraît bien, mais on fait comment pour les gages ? réponds-je, taquin.— Facile. Un jour, tu fais ce que tu veux de moi. Le lendemain, on inverse. C’est d’accord ? Comme j’acquiesce de la tête, elle continue. — Mais demain, on commence par toi.— Ah ? Pourquoi ?— Parce que j’ai très envie que tu t’attaques à mon petit cul… Bonne nuit… Là-dessus, elle se retourne et s’endort presque aussitôt. Décidément, roupiller avec elle, ce n’est pas gagné… ---ooo0ooo--- Après une nuit très courte – mais même pas agitée, faut bien reprendre des forces de temps en temps – et le café servi en tenue d’Ève par Jennifer – il y a pire comme réveil, j’en conviens – il faut quand même aller bosser. Aujourd’hui et demain, nous irons sur le terrain, ou plus exactement sur un centre d’entraînement où sont étudiées les procédures d’utilisation et de sécurité des machines dont nous assurons la conception. L’idée est assez simple : quand tu mets toi-même les mains dans le cambouis, tu te rends beaucoup mieux compte des erreurs à ne pas commettre quand tu es à la table à dessin. Du coup, fini les costumes et les tailleurs, les consignes de la direction ...