L'animal qui est en toi
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
... du stage ont été claires, vêtements confortables et solides, jean et tee-shirt en ce qui nous concerne. Après une matinée passée où Jennifer et moi, comme tous les autres stagiaires, avons revêtu la combinaison de travail orange réglementaire et le casque de chantier, nous arrivons au repas du midi. Elle se penche à mon oreille. — Cet après-midi, cela devrait être plus calme.— Bonne nouvelle…— Et je te rappelle qu’aujourd’hui, tu peux tout exiger de moi… Pendant une demi-seconde, je me demande où elle veut en venir. — Je n’ai pas oublié… On va bosser avec Annette et Philippe, je crois. Ils sont sympas.— En effet. Mais quel rapport ?— Le rapport, c’est que cet aprème, sous la combinaison, je te veux en soutif et culotte. Elle hausse les épaules. — C’est tout ?— Oui. Pour le moment. En fait, je l’ai vue s’habiller le matin. Dès notre retour à l’hôtel, après le boulot, elle a prévu d’aller piquer une tête dans la piscine et, du coup, en fait de sous-vêtements elle porte un bikini blanc, là encore tout ce qu’il y a de plus correct même s’il n’est pas très grand, et cet ensemble est maintenu par des cordons qui se nouent. Alors, dès que l’occasion se présente et après m’être assuré de ne pas être vu, au travers du tissu de la combinaison je tire sur les nœuds de ces fameux cordons. Tout d’abord, c’est au soutif d’être défait, puis à la culotte. Comme elle maugrée quelque peu, je lui murmure à l’oreille : — Tu dois faire tout ce que je veux… Eh bien, maintenant, tu continues nue ...
... sous ta combinaison. Personne ne le sait, que toi et moi, alors, bon courage…— Et je fais quoi de mon bikini ?— Tu le laisses là où il est. Tu le remettras tout à l’heure, quand nous nous remettrons en civil… Dans le couloir qui nous mène aux vestiaires, lorsqu’enfin la journée s’achève, cela fait déjà un bon moment que j’ai remarqué que la pointe de ses seins semble vouloir crever le tissu tant ils sont tendus. Quant au reste, un rapide examen entre deux portes me permet de vérifier que Jennifer est trempée, et il y a à cela une bonne raison : le tissu un peu rêche et surtout très raide n’a cessé de titiller ses seins, tandis que la couture de l’entrejambe a passé son temps à s’insinuer entre ses lèvres chaque fois qu’elle levait les bras. Bien entendu, cela ne se voit pas puisque l’étoffe est précisément trop épaisse, mais les fermetures éclair qui s’ouvrent dans les deux sens m’ont permis d’accéder le plus simplement du monde à sa case trésor. — Tu vas me baiser en rentrant ? me dit-elle, suppliante.— Je ne sais pas… On verra… Peut-être… Tu ne devais pas aller à la piscine, ce soir ?— Si, répond-elle, mais il se trouve que je n’en ai plus tellement envie, et puis, tu sais, il y a un con qui m’a piqué mon maillot…— Oh, le salaud… Promis, dès que je le vois, je le lui dis…— Profites-en pour lui dire que j’ai très envie de sa queue… Décidément, avec elle, même quand on fait le nécessaire pour que ce soit elle qui brûle de désir pour vous, elle arrive toujours à vous rendre dans ...