1. L'animal qui est en toi


    Datte: 05/08/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj,

    ... s’enroulant dedans et en faisant un nœud derrière son cou et, honnêtement, qu’elle ait ou pas de bikini dessous ne se voit pas. Par contre, je compte sur le trouble qui est le sien, entre la combinaison de l’après-midi, la branlette avortée et maintenant le coup du paréo, pour la faire réagir. Si elle me viole au détour d’un couloir, je l’aurai bien cherché… Mais pour l’instant seul son regard trahit l’état dans lequel elle se trouve. La bouffe est bonne, elle a plutôt bon appétit en temps normal, mais là son esprit est visiblement ailleurs. Comme je traîne un peu à finir mon dessert, elle s’agace quelque peu. — Tu ne pourrais pas te dépêcher ? Tu as l’intention de me laisser languir comme ça encore longtemps ? Houlà, c’est du sérieux… Alors, laissant la moitié de mes profiteroles, je me lève et la prends par la main. — Au troisième, il y a un ancien fumoir. Ça te dirait que nous y allions ? En fait, si je lui demandais de me suivre sur la planète Mars, je crois bien qu’elle n’y verrait pas d’objection. Après un voyage en ascenseur où elle n’a cessé de m’embrasser et de laisser traîner ses mains sur mon membre viril, après une longue traversée de couloirs où chaque recoin a été prétexte à des attouchements furieux, nous arrivons enfin à ce fameux fumoir. Il est désert. Il est vrai que, depuis les interdictions de fumer dans les lieux publics, ce genre d’endroit n’a plus lieu d’être. Il y a là quelques canapés, visiblement vieillots mais en parfait état, quelques tables ...
    ... basses, une petite bibliothèque qui occupe un pan de mur, et de l’autre côté une immense baie vitrée s’ouvre sur la campagne environnante. Il n’y a pas de porte à cet endroit, n’importe qui pourrait arriver, mais je n’ai pas le temps de dire ouf, Jennifer m’a déjà projeté sur l’un des canapés et s’est emparée de ma queue. Elle la suce avidement, avec une énergie insoupçonnable, comme si sa vie en dépendait. Sa langue diabolique court le long de mon membre, s’attarde sur le frein, revient sur le bout… C’est délicieux. Un peu trop, même, et je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps. Alors, l’attrapant par les épaules, je la relève, juste le temps pour moi d’apercevoir dans l’un des recoins de cette pièce le bureau du préposé à la vente de cigares. Comment le sais-je ? Tout simplement, parce que c’est écrit dessus, il y a encore une petite affichette avec les qualités et les appellations des cigares, ainsi que leur prix. Ce bureau, Jennifer l’a vu aussi et elle se dirige vers lui. Sans un mot, elle s’assoit dessus et, tout en posant son pied sur l’accoudoir du fauteuil tout proche, elle en profite pour défaire le nœud de son paréo. La voilà nue devant moi, une jambe quasiment à l’équerre, et j’ai une vue imprenable sur son sexe béant qui luit sous la douce lumière de cette fin de jour. Je m’agenouille devant elle, les lèvres à quelques millimètres de son buisson ardent, et je lève les yeux vers elle. Immobile, le cœur battant, elle se demande quelles sont mes intentions, et pourtant ...
«12...232425...35»