L'animal qui est en toi
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
... de ce dont j’ai envie. Alors, bien que toujours aussi intriguée, elle reprend sa masturbation de plus belle, et très vite son bassin commence à avoir une vie personnelle, tandis que son souffle devient de plus en plus rauque. Il n’y pas bien longtemps que je connais cette partie d’elle-même, mais il me semble que l’explosion est proche. — Arrête… De nouveau, son visage est marqué du sceau de l’incompréhension. — Mais… mais… Tu m’avais dit que tu voulais m’entendre crier, et justement j’allais le faire… Ça, je l’avais bien remarqué. — En effet, mais j’ai changé d’avis. Allez, remets ton maillot, on file à la piscine. L’eau est délicieusement tiède. De temps à autre, Jennifer vient se coller à moi, mais je fais mine de ne pas y prendre garde. L’exercice est difficile, parce qu’entre son cul qu’elle sait si bien faire bouger contre mon bas-ventre, et ses mains qui me touchent à cet endroit lorsqu’elle fait quelques mouvements sous l’eau, elle sait s’y prendre. De nouveau, mais je me demande si cela ne va pas finir par être la norme dès qu’elle est dans les parages, je suis pris d’une violente érection. Sortir de l’eau ne va pas être une mince affaire, surtout que nous ne sommes pas seuls, loin de là, mais je verrai bien le moment venu… D’ailleurs, la cloche annonçant le début du service restauration du soir vient de sonner, il va donc falloir que je ressorte le plan 46 bis pour dissiper lagodanche. De nouveau, me concentrer sur quelques conneries qui agacent bien, qui rendent ...
... le quotidien si… quotidien, oublier Jennifer et son cul de rêve. Au bout de quelques minutes, je suis à nouveau présentable. Pendant ce temps, amusée, ma rouquine attend patiemment sur le bord de la piscine que je veuille bien sortir de l’eau. — Ben quoi, Claude, tu as un problème ? Elle sait exactement de quoi il retourne, et s’en amuse follement. Je ne peux pas lui en vouloir, à sa place je ferais la même chose. — Rendez-vous aux cabines, et attends-moi. J’arrive. Si elle s’en va sans protester, sa façon de s’éloigner en accentuant son déhanché naturel est en train de transformer tous les mâles du voisinage en loup de Tex Avery. Elle ne perd rien pour attendre, me dis-je. J’ai rejoint Jennifer dans la grande cabine où elle m’attend déjà, nue. — Je t’avais dit de patienter…— Je n’ai pas pu, s’excuse-t-elle.— Dis-moi, il me semble que j’ai vu un paréo, dans ton sac.— Oui, pourquoi ?— Parce que ce soir on va manger sur la terrasse. Et je veux que tu mettes ton paréo.— Comme tu voudras…— Attention, j’ai dit ton paréo. Rien d’autre. Ça, elle ne l’avait pas prévu. — Tu veux que je dîne nue sous ce grand foulard ?— Tout à fait. Sa surprise n’est pas feinte. — Bon, bien… C’est d’accord, ce sera de l’inédit, répond-elle, visiblement inquiète.— Tu as peur ?— Oui, un peu…— Eh bien, tu vas le faire quand même. À tout de suite. Là-dessus, après avoir remis mon jean, je sors de la cabine, suivi, très peu de temps après, par Jennifer. Elle a noué classiquement son paréo, c’est à dire en ...