L'animal qui est en toi
Datte: 05/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
... le désire, je la pilonne comme une brute, à lui en arracher les entrailles, et plus j’y vais fort, plus ses cris résonnent dans l’établissement vide. Il ne s’agit plus de douleur, il s’agit de plaisir, j’en mettrais ma main au feu. Cela dure quelques minutes, je sens ma queue qui grossit encore dans son cul, je m’enfonce encore un peu plus dans son fondement et tandis que ma semence jaillit tout au fond d’elle, je l’entends basculer dans un violent orgasme. Je reprends mes esprits, juste pour m’apercevoir qu’elle est en larmes. — Je suis un salaud… Je te demande pardon, je t’ai fait pleurer…— Laisse tomber… Oui, tu m’as fait mal, mais c’est de bonheur que je pleure… Je n’en crois pas mes oreilles. — Tu ne m’en veux pas ?— Non, mais je risque de t’en vouloir énormément si, dès que nous serons à l’hôtel, tu ne recommences pas. J’ai encore envie… ---ooo0ooo--- Nous étions arrivés le lundi pour un stage qui allait durer dix jours. Alors, assez bêtement, après une semaine qui est passée à la vitesse de l’éclair, un week-end où nous avons été à deux doigts d’être obligés d’appeler les secours et principalement la tente à oxygène tant notre délicieux affrontement a été intense, nous sommes arrivés à ce satané mercredi, le jour où nous devions rentrer. Les meilleures choses ont une fin, nous le savions dès le début, mais cela ne rend pas les séparations moins douloureuses. Bien sûr, nous nous reverrons au travail dès demain mais, nous le savons, plus rien ne sera jamais comme ...
... avant. En attendant, sur le chemin qui nous mène de la gare à la boutique, je prends mon temps. Jennifer, tout comme moi d’ailleurs, reste silencieuse. Ce n’est qu’à l’approche d’un stop qu’elle rompt le silence. — Tiens, ce n’est pas la voiture de Jean-Marie, là-bas devant ? En effet, je ne l’avais pas remarqué, c’est effectivement le véhicule de fonction du responsable de l’unité dont nous dépendons, et au volant ce ne peut être que le big boss lui-même, sa crinière blanche est assez repérable, même de loin. Il roule tranquillement, marque son stop et redémarre, tout aussi tranquillement. — Heureusement qu’il a marqué l’arrêt, les flics y sont tout le temps, à cet endroit…— Ah ?— Oui, tu peux demander à ma femme, elle t’expliquera… En fait, j’en ris maintenant, mais se prendre quatre points plus la prune pour une faute aussi ridicule, il y a de quoi s’en vouloir. Mais, deux cents mètres plus loin, je vois Jean-Marie en grande discussion avec ces messieurs de la gendarmerie. Visiblement, le ton monte, aussi prends-je sur moi de m’arrêter. — Ça va, Jean-Marie ?— Tu parles ! Paraît que j’ai grillé le stop ! On dit souvent des forces de l’ordre qu’elles sont un mal nécessaire et qu’à ce titre il faut les respecter. Mais il n’en est pas tout à fait de même envers ces types prêts à faire n’importe quoi et à mettre n’importe qui dans une merde noire simplement pour assurer le chiffre que leur supérieur leur a demandé de faire à tout prix. — Je connais ce monsieur, et j’étais deux ...