1. L'animal qui est en toi


    Datte: 05/08/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj,

    ... mes mains sous sa robe légère, juste pour pouvoir lui ôter sa culotte. Après, me dis-je, on verra bien… Juste pour moi le temps d’effleurer les lèvres de son sexe et elle attrape ma main. — Ma bouche et ma chatte te sont interdites, tu le sais. Elle est bien gentille, mais sans un minimum de liqueur intime, je ne vois pas comment lubrifier son étroit conduit et encore moins comment pouvoir la prendre sans la faire souffrir. Elle semble avoir lu dans mes pensées. — Débrouille-toi, je te veux dans mon cul dans l’instant. Magne-toi… En guise d’invite, elle pose ses mains sur le rebord du comptoir, au niveau où se trouvaient les bacs à vaisselle. L’heure est grave… Pour ce qui est de Marcel, pas de problème, il est au rendez-vous. Alors, puisque telle est sa demande, je mets un maximum de salive sur mes doigts qui se glissent sous sa robe, jusqu’à ce qu’ils parviennent au petit orifice. L’anneau culier cède sans grande résistance à un premier doigt, suivi sans plus de peine d’un second, dont le doux mouvement de va-et-vient a surtout pour but de lubrifier ce passage inhabituel. — Ça suffit, encule-moi…— Mais je vais te faire mal…— Je m’en fous, je te veux tout de suite… Et n’oublie pas de m’insulter… Alors, pour faire bonne mesure, je prends son bras et le lui retourne dans le dos en le relevant. Je sais que je lui fais mal, mais elle ne bronche pas. — Tu vas voir ce que je vais te mettre, sale petite pute ! Là, coincée entre moi et le comptoir, tenue qu’elle est par le bras, je ...
    ... profite de ce qu’elle ne peux plus bouger pour lui remettre, cette fois sans aucune douceur, deux doigts dans le cul. Sa réaction ne se fait pas attendre. — Continue, salaud, continue ! Sans réfléchir, comme un automate, je me vois alors sortir ma queue et la présenter juste en face de son anus. Elle tourne la tête, le sourire carnassier, le regard féroce, quasiment la bave aux lèvres. — T’oseras pas ! Jamais tu ne m’enculeras ! Tu parles ! Avec la douceur d’un marteau-piqueur, je lui enfonce ma queue dans le cul, d’un seul coup, jusqu’à la garde. Le hurlement qu’elle pousse est atroce, mais elle ne se débat pas, elle n’essaie même pas de s’échapper. À voir comment les larmes coulent sur ses joues, la douleur doit être terrible. Confus, je suis sur le point de me retirer d’elle quand elle me retient. — N’arrête pas, je t’en supplie…— Mais je te fais mal !— Je m’en fous, continue. Bourre-moi, ne t’occupe pas de moi… Facile à dire ! Alors, je commence à aller et venir dans son cul, il me semble d’ailleurs qu’il se détend quelque peu, il est désormais bien moins serré qu’il ne l’était quelques instants plus tôt. Parallèlement, les traits de Jennifer se décrispent peu à peu, j’ai l’impression que son rictus de douleur est en train de changer, et ce ne sont pas les petits cris qui parviennent désormais à mes oreilles qui me disent le contraire. — Vas-y ! Bourre-moi ! Bourre-moi comme une pute ! Ce que femme veut… Alors, puisqu’elle me le demande, je me mets à la bourrer comme elle ...
«12...313233...»