Le cadeau d'un père...
Datte: 07/08/2018,
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... dans sa patrie d’origine. Ta mère et moi avons également divorcé une dizaine d’années plus tard, comme tu le sais, mais sans qu’il y ait de rapport avec cette triste histoire. *** Un jour, je me trouvais dans un petit restaurant de la banlieue, et je lisais tranquillement mon journal en attendant d’être servi, lorsqu’une silhouette s’est arrêtée devant moi. J’ai levé la tête : c’était André ! Je craignais qu’il ne me flanque son poing dans la figure comme lors de notre dernière rencontre, mais il me regardait paisiblement, le sourire aux lèvres. Rassuré, je l’ai invité à s’asseoir et lui ai offert un verre. Bref, nous avons partagé notre repas dans ce resto où lui venait tous les jours de semaine, l’entreprise où il travaillait se trouvant à deux pas. Il avait maintenant quarante-cinq ans, mais je voyais toujours le jeune homme que j’avais connu auparavant. Nous avons évoqué de vieux souvenirs et, la nostalgie aidant, nous avons décidé de garder le contact. Nous avons même ri de nos mésaventures conjugales passées ! Je l’ai invité chez moi, où j’habitais seul depuis notre divorce. Après le pousse-café, nous avons continué à parler de ce qu’avait été notre vie durant les quinze dernières années. Il a fini par m’avouer, un peu gêné, qu’il avait gardé un souvenir très vif de ce qui s’était passé cette nuit-là, de ce qu’il avait fait à Sophie, et à moi ensuite… J’ai dû reconnaître que, moi aussi, je repensais souvent à la façon dont il m’avait pris sous les yeux de mon épouse, ...
... et à l’analogie avec notre nuit dans la chambre de José… Tu auras déjà deviné, cher fils, ce qu’il advint ensuite : nous nous sommes retrouvés au lit, quelque peu embarrassés d’abord, mais la nature ensuite a suivi son cours, et le matin nous a trouvés épuisés par une nuit où nous nous sommes donnés l’un à l’autre avec une frénésie, je n’ose pas dire une passion, que nous ne soupçonnions guère… Nous avons donc vécu ensemble depuis lors, dans cette maison de banlieue où toi et ta sœur n’êtes venus que rarement, et nous avons réussi à faire en sorte que vous ne soyez pas au courant de notre liaison. Voilà, cher Charles, je voulais que tu en saches un peu plus au sujet de certains épisodes de ma vie, et de celle de ta mère (quoique dans une moindre mesure), ce qui te fera mieux comprendre pourquoi je ne me suis jamais permis de juger la façon dont tu t’es comporté tout au long de ta propre vie… Oui… je connais tous les détails, les moindres faits et gestes de ton existence dépravée, de quelle façon ignoble tu as trahi la confiance de tous ceux qui t’aimaient, tes petites et grandes lâchetés, tes compromissions… Bref, tu sais de quoi je parle et je ne m’étendrai pas plus sur le sujet… À propos, ne te donne pas trop de mal à consulter les documents concernant ton héritage. Je me suis arrangé pour que la plus grande partie de ma fortune prenne une direction autre que celle de ta poche, et tu ne bénéficieras que du minimum prévu par la loi. Oh, j’oubliais ! J’ai vendu tous mes biens, ...