Marie, Ah Marie ! (2)
Datte: 10/08/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
vacances,
intermast,
Oral
pénétratio,
confession,
prememois,
Dans le premier épisode : «Marie, ah Marie ! (1) » Le vieux sanglier solitaire que je suis, se fait surprendre par une gamine chez des amis, elle me nargue et je me sens perdre pied, malgré un reste de morale. Note de l’éditeur : La lecture du premier épisode montre que « Tonton » est un vieil ami de la famille et qu’il n’a aucun lien de sang avec Marie. Tonton : (Par extension) Personne hors de la famille pour laquelle quelqu’un de plus jeune a une affection de type filial. (Wiktionnaire) ________________________________________ Notre autre pote arrive. Un coup de klaxon impérieux à la grille, on ouvre. Il fait rouler sa voiture au bout de la cour, derrière les nôtres, on referme. Nous voici à nouveau en vase clos, entre nous. Embrassades et déchargement de la voiture, rien ni personne ne peut nous arracher à ce rituel, nos retrouvailles, toujours un pur moment de bonheur. Nous voilà tous les cinq, un verre à la main saluant l’assemblée, c’est grand, c’est fort, manque juste mon ex, partie pour de nouvelles aventures, laissant un grand vide dans mon cœur. Ça papote dur, ça jase comme on dit dans la belle province et un texto arrive : Ah traîtresse, tu lâches rien ! Je suis comme un lapin dans les phares, hypnotisé, incapable de réaction. Je profite du remue-ménage pour m’éclipser et rejoindre ma chambre, comme un puceau boutonneux. J’ai le cœur qui bat jusqu’à dans ma queue bandée. Ma belle, tu vas prendre un coup de vieux, mais quel coup ! Je me sens tellement puissant, ...
... tellement plein de sève, tellement rajeuni. La pénombre règne dans la pièce, les volets sont mi-clos, elle est assise au bureau et lève ses grands yeux noirs à mon arrivée. Elle a une attitude de petite fille, les genoux bien serrés avec les mains jointes entre, le dos bien droit, grande asperge un peu empruntée qui peut-être se rend enfin compte de ce qu’elle fait. — Lève-toi. Elle fixe le sol et se met debout, les mains dans le dos, comme une ado prise en faute. Je ne sais comment agir, des images se bousculent dans mon esprit, j’ai toujours eu un côté dominateur avec les femmes, plus ou moins prononcé selon, la femme. D’instinct, je sens qu’elle recherche quelque chose de fort, qu’elle est soumise en pleine conscience de son abandon, que cela fait partie de son fonctionnement sexuel et qu’elle ne demande rien d’autre. — Mets-toi à genoux. Elle obéit, les mains toujours dans le dos. La voilà à genoux devant moi, soumise, docile, à ma merci de prédateur. Je m’approche doucement pour avoir mon entrejambe juste à la hauteur de son visage. Je passe ma main sous sa nuque et plaque son joli minois contre la bosse qui déforme mon pantalon. Je sens ses mains enserrer mes cuisses. Elle ne recule pas, reste là, la bouche contre le tissu tendu par mon sexe. Je me frotte doucement contre son visage et de temps en temps appuie plus sérieusement sur sa nuque. Sa bouche légèrement entrouverte salive sur l’étoffe, laissant des marques luisantes. Elle respire de plus en plus fort, les yeux ...