1. Marie, Ah Marie ! (2)


    Datte: 10/08/2018, Catégories: fh, hagé, vacances, intermast, Oral pénétratio, confession, prememois,

    ... sauvetage, il y avait 1,50 m d’eau… Cette anecdote a plu énormément, ainsi que celle qui remportait la palme où je finis à l’hôpital pour accompagner une femme que j’aurais dû mettre dans mon lit. Comme elle voulait absolument que je conduise sa voiture et que nous étions complètement bourrés, l’un et l’autre, j’ai pas compris tout de suite que la voiture était automatique. Je me suis emmêlé les pieds, j’ai manqué une pédale et la dame s’est écrasée contre le pare-brise, résultat quatre point de suture sur le front. Je précise quand même que la dame en question, pas rancunière, m’a donné une deuxième chance. Hilarité générale. On passe à table dans la grange. La soirée s’annonce fraîche après la canicule, je me retrouve avec mes deux potes en face moi, la bouteille descend assez rapidement. J’oublie la tension des derrières heures, sur les trois lascars que nous sommes, il n’y en a qu’un qui travaille encore, alors on lui décrit les grasses mat’s, les apéros au soleil, les soirées sur Toulouse quand je descends, quelques jours. Mon téléphone vibre, un texto, je ne le lis pas, je sais d’où cela vient. Marie est tout au bout de la table, l’air innocent, elle discute avec ses cousins. J’ignore le téléphone, je vois bien mes potes qui me regardent, je fais de la main comme si cela n’était pas important. La soirée avance, l’ambiance est bonne, c’est que du bonheur. Le Patriarche, au bout de la table, nous couve d’un regard bienveillant, il est heureux de nous voir ainsi. Un autre ...
    ... texto arrive, cette fois mes potes sont interrogatifs, ils soupçonnent une nana là-dessous. Tu penses, à cette heure, qui peut envoyer des textos, sinon une femme ? — Toi, tu ne dis pas tout.— Mais si, je vous en ai parlé la dernière fois, mais cela n’ira pas bien loin.— Surtout si tu réponds pas… Et ces deux couillons se marrent comme des baleines, je les aime mes potes. Leurs femmes s’en mêlent : — Allez, un effort ! Elle doit être sympa pour prendre des nouvelles à cette heure. Je deviens le centre d’intérêt une fois de plus, mais là, franchement, je suis pas à l’aise, je me sens un peu coincé. Alors je me lève et me dirige vers le jardin, je me tourne en franchissant la porte et je dis : — C’est privé. Une fois dans le jardin, je prends une clope, foutue habitude, et je réveille le téléphone. Putain, j’ai allumé une bombe à retardement, tout cela va m’exploser au visage. Deuxième texte : Ça y est je bande, cela va devenir dangereux. Qu’est-ce que je vais faire pour me tirer de là ? J’ai peur qu’elle ne sorte aussi après moi pour me rejoindre. J’écrase ma clope vite fait et je retourne à table. Marie n’est plus là, mon pote demande : — Elle va bien ? Tout le monde rigole. Et voilà Marie qui apparaît près de moi, elle me dépose une pizza spéciale. Un chausson, c’est ce que je préfère. C’est mignon, ils l’ont faite que pour moi et c’est Marie qui livre, merci. — Alors les tontons, contents ?— Vi, vi, tout va bien ? Elle me regarde : — Tonton, bois pas trop, hein ?— Lui, pas ...
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