1. Marie, Ah Marie ! (2)


    Datte: 10/08/2018, Catégories: fh, hagé, vacances, intermast, Oral pénétratio, confession, prememois,

    ... et plonge mon regard dans ses yeux qu’elle entrouvre doucement et elle me fixe, un sourire en demi-teinte, ingénue, puis son sourire s’élargit, ses yeux noirs pétillent. — Je savais qu’avec toi c’était possible. Elle devient rayonnante, comme quelqu’un qui vient de recevoir un cadeau. Je suis un peu perplexe, mais en vieux singe, j’attends la suite, quand une femme commence à parler, surtout après l’amour, il faut écouter, car on apprend des choses. — C’est la première fois que je jouis vraiment. Bah là, mon con ! Si y en a un qui sait pas quoi dire, c’est bien moi ! Le vieux singe, il bande, mais s’attendait pas à ça. Pour toute réponse, je dépose un baiser doux sur ces lèvres chaudes. — Le plaisir c’est bon, mais la jouissance, c’est énorme ! Qu’est-ce que tu veux répondre à cela ? Elle est là impudique, le cul à l’air, savourant son premier orgasme. J’observe qu’elle ne porte aucun sous-vêtement. Je m’interdis de profiter de l’instant, j’ai encore des pudeurs de puceau et un peu de morale. Ma vie entière a été bercée de ces excès, entre l’envie de faire, de transgresser et choisir le moment, ne pas gâcher l’instant lorsqu’il est beau. Et là, c’est magnifique ! Une cavalcade dans l’escalier, des voix nous ramènent à la réalité, les cousins chahutent. Il est temps de revenir à la réalité. Je lui conseille de profiter de la salle de bain attenante, pour une douche et se refaire une beauté. — Tu sens le sexe, ma belle, et si tu as un autre jean, change-toi. Je la couvre ...
    ... d’une grande sortie de bain et pars rejoindre les autres. Je passe par la tireuse à bière, un gobelet à la main l’air de rien. Je prends une clope,merde, j’ai toujours pas de briquet… Je fais un tour d’horizon, personne ne semble faire cas de mon absence. J’ai juste oublié de me laver les mains, j’ai encore l’odeur de l’entrecuisse de Marie sur les doigts, une odeur délicieuse. Je renifle mes phalanges comme un vieux sanglier, tellement de souvenirs remontent à la surface, Isabelle… bref, passons ! Je rejoins le monde. L’apéro enfin ! Tout le monde autour de trois tables d’extérieur, les vieux d’un côté, les jeunes de l’autre comme autrefois, mais quand ils étaient gamins. Marie apparaît à la porte, elle glisse doucement en baissant la tête, une main devant sa bouche. Elle mange une chips, sa grand-mère l’interpelle : — Au lieu de piquer des trucs, tu ramènes tout là, qu’on en profite. Marie sourit, elle s’exécute. Un ou deux voyages avec un plateau et, évidemment, elle vient près de moi et dépose sur la table son chargement, sans oublier de coller sa hanche sur mon épaule. J’avais déjà du mal à débander, c’est reparti de plus belle. Une fois de plus, je suis le centre d’attraction : la vie là-bas, les différentes ethnies, la mer, les coups de pêche, les coups de chasse, les coups de fêtes. Je les fais rire quand je raconte qu’une nuit nous faisions du canoë-kayak dans une piscine et que le copain bien avancé dans sa cuite, exigeait quand même que nous mettions des gilets de ...
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