Marie, Ah Marie ! (2)
Datte: 10/08/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
vacances,
intermast,
Oral
pénétratio,
confession,
prememois,
... fermés, profitant, semble-t-il, du moment. Je sens ses mains se crisper sur mes cuisses. Elle ne refuse pas cet acte, elle s’appuie plus avant d’elle-même. L’instant est chargé d’érotisme ou de sexe pur, je ne sais plus, une seule idée m’obsède, libérer mon sexe et… Mais je me reprends, je me saisis de ses longs cheveux et l’oblige à se relever. Je la plaque, face au mur et lui ordonne de baisser son jean. Elle s’exécute rapidement et me dévoile son cul, rond, pommelé. Je vois sa cambrure, ses hanches étroites, ses cuisses fuselées, j’en prends plein les yeux. Tout chez elle est gracile, fragile, j’ai une envie irrésistible de la souiller. Je porte la main vers ce fessier somptueux, je touche enfin sa peau. C’est doux, lisse. Ma main se glisse entre ses cuisses vers son sexe, je trouve ses nymphes inondées, un vrai marécage ! La demoiselle mouille, dire qu’elle apprécie est un doux euphémisme. Mes doigts en elle glissent facilement, j’en introduis deux directement et je la masturbe. Dans cette position, il est facile de trouver le petit endroit rugueux, différent des muqueuses environnantes, je concentre mes doigts dessus. Je vois ma main sous ce petit cul et je sens l’humidité de cette chatte. J’accélère le rythme et vais plus profond, plus loin. Je lui prends les bras un par un et les plaque contre le mur, elle est ainsi, à demi nue, offerte à ma perversité. De mon autre main, je vais caresser ses seins, petites choses fragiles, mais si réceptives. Marie a les tétins ...
... bandés, de tous petits tétons que mes doigts ont du mal à pincer. Alors, je tire doucement dessus, les coquins s’allongent, appréciant d’être ainsi traités, mais son chemisier me gêne, je passe la main dessous pour mieux les saisir, ces petits seins. La belle gémit de plus en plus fort, ses hanches ondulent au rythme de ma pénétration manuelle, elle tend son cul. Cela sent la cyprine, je bande à en avoir mal. Elle a la tête en arrière, relevée vers le plafond, les yeux fermés, le souffle court, un « ouiii » s’échappe de sa bouche, elle se raidit sur ses jambes. De mon pouce libre, je tâtonne dans la région de son petit trou. Ma vue se brouille, je ne sais plus où j’en suis. Là, elle donne un coup de reins en arrière pour que j’enfonce plus loin mes doigts. La scène est obscène de sensualité. Deux « oui » fusent encore de sa gorge. Je pince plus fort le téton entre mes doigts, elle jouit, je sens l’humidité s’accroître sur mes doigts. Elle glisse doucement contre le mur, je la soutiens, sinon elle tomberait. Je l’attrape derrière les jambes, la prends dans mes bras et la porte sur le lit. Elle se recroqueville en fœtus, son cul à l’air, le jean au milieu des jambes. Sa respiration reprend un cycle plus régulier, elle tend ses grands bras vers moi et m’enlace doucement. Nous échangeons notre premier baiser, doux, chaud, sa langue est agile. Je prends possession de sa bouche voracement, je suis un prédateur et lui montre ainsi. Elle me serre fort dans ces bras, je délaisse sa bouche ...