1. Marie, Ah Marie ! (2)


    Datte: 10/08/2018, Catégories: fh, hagé, vacances, intermast, Oral pénétratio, confession, prememois,

    ... boire, arff ! Hilarité générale, j’ai une sacrée réputation quand même. Le temps d’avaler ma pizza chausson, un texto arrive. Comme les chaises à côté sont vides, je jette un œil rapide : Je ferme vite l’écran, mais rien n’échappe à l’un de mes potes en face… Je vois ces yeux qui pétillent, son sourire s’élargir et il va dire quelque chose. Je lui fais non de la tête, la parole ne franchit pas ses lèvres, mais le sourire s’accentue. Le repas se termine, Marie n’est pas revenue, j’ai des images qui tournent dans ma tête chenue. Un corps, des corps, un cul s’imposent à ma mémoire, il faut dire que dans cette maison, j’ai vécu quelques étreintes fougueuses, des étreintes furtives, mais c’était avec ma femme, passons. Qu’est-ce que je vais faire de cette situation ? Laisser les choses comme cela ou prendre enfin en mains la direction des opérations. Je sais au fond de moi que ma décision est prise, comment laisser passer une chance pareille, je serais vraiment le dernier des cons pour faire autrement que ce que j’ai toujours fait, je préfère avoir des remords que des regrets. Alors comment cela va-t-il tourner ? Je vais prendre du plaisir si j’en ai l’occasion, simplement. Je la revois, cette grande sauterelle grandie trop vite, docile et humide contre le mur de ma chambre, son petit cul tendu vers ma main entre ses cuisses, ses mignons tétons sous mes doigts inquisiteurs. Je porte discrètement la main sous mon nez, j’ai encore son odeur sur mes doigts, un texto arrive : ...
    ... Réponse de ma part : La soirée avance, les rangs s’éclaircissent, le four à pain ronronne, diffuse sa douce chaleur dans la grande cuisine attenante. Les jeunes décident de faire un poker, je décline. Mes potes s’installent à la table improvisée. Les femmes vont se coucher sauf mes copines (femmes de mes amis). Un baffle Bluetooth apparaît, un portable diffuse sa playlist dans la grange. Marie arrive avec des verres et la fatidique bouteille de mirabelle – nous sommes en Lorraine, n’oublions pas – tournée générale. Marie n’est pas en reste, la jeunette picole aussi. Eh bin, ça promet ! Son père, que je n’ai pas vu de la soirée vient discuter. D’habitude c’est un joyeux drille, mais là, il est tout triste, envie de parler, alors on va dans le jardin griller un j… et ce con ne le sait pas, mais il m’évite quelques sueurs froides et je gagne du temps. Il va chercher deux bières à la tireuse. Marie fait son apparition aussitôt, elle fonce vers moi, nous sommes seuls, elle m’embrasse furtivement et me dit simplement : — Tu vas me faire jouir encore cette nuit, Tonton, hein, dis… Cette gamine est terrible, elle se tourne, se déhanche comme pour m’offrir son briquet et repart avant que son père ne revienne, comment être serein ? Heureusement, aucune fenêtre ne donne sur le jardin, j’en ai des sueurs froides, mais qu’est-ce que c’est bon l’interdit. Il y a quinze jours, je me tapais une grand-mère et ce soir une gamine veut partager ma couche, elle est bizarre la vie quand même. Après ...
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