1. Catherine, Annie, Paul et moi


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, ff, hh, Collègues / Travail Oral pénétratio, amourcach,

    ... recule d’un pas et baisse à nouveau la tête. Je ne bouge pas, estomaqué par ce qui vient de se passer, tentant de compiler des millions d’images qui me reviennent, datant du moment où je l’ai connu jusqu’à il y a quelques minutes, comme un ordinateur qui a des millions de données à traiter. Soudain plusieurs situations prennent sens et trouvent un nouvel éclairage. Paul met une main sur ma joue, la caresse doucement, puis remonte sa main pour jouer tendrement dans mes cheveux. Je détourne les yeux, regarde les portes des toilettes, trouve une inscription gravée sur le mur au-dessus des faïences,Ici Arnaud il m’a fait une pipe, et une autre un peu plus loin que je n’arrive pas à lire. J’ouvre la fontaine et m’ébroue la tête sous l’eau, tenant de m’éclaircir les idées, puis je regarde Paul, le sourire épouvanté, un sourire amoureux qui lui remplit l’âme, et dont il me rend seul responsable du sort et du dénouement. — J’ai jamais voulu te l’avouer, murmure-t-il dans un stress apparent, mais – il avale sa salive – mais là je ne peux plus, tu es… tu es superbe… ton corps magnifique… mon Dieu… je craque. Des larmes roulent dans ses yeux, son teint pâlit, il tremble de tous ses membres en posant ses mains sur mes épaules, encouragé par mon immobilité, et en évitant mon regard. Je fais attention à la porte. — Je veux tout abandonner… pour toi. Je le pousse doucement, et recule d’un pas. Il remet ses mains sur mes épaules et tente, dans un mouvement tendre et rapide, de m’embrasser ...
    ... sur la bouche, mais je recule la tête et il m’effleure par son nez. Il me tripote le polo en frissonnant, je commence aussi à frissonner, il se raidit, tenant fortement mes bras dans ses mains racées aux ongles manucurés, et je prends soudain peur de me faire agresser par Paul qui devient de plus en plus incontrôlable. — J’abandonne Catherine, on vivra ensemble, je te donne tout ce que j’ai, je te veux… je te veux. Je lui tiens solidement les mains alors qu’il se débat, puis je le retourne, le dos contre ma poitrine et je le bloque par une prise impeccable, puis je lui chuchote dans l’oreille. — Écoute-moi bien, Paul, je n’aime pas les pédales, tu le sais bien, alors on va faire comme si rien ne s’était passé, nous allons revenir ensemble à côté des filles, on va leur dire que t’as saigné du nez, et puis on se calme. D’accord ?— Je te veux, je t’aime, n’arrête-t-il pas de répéter.— Oui, j’ai compris, mais ta proposition ne m’intéresse pas, d’accord ? Il se débat sans conviction, frissonne, se raidit encore plus, puis soudain il se calme et balbutie : « D’accord, d’accord ». — Et tu arrêtes de prendre de la coke, sinon tu ne me reverras plus.— D’accord, d’accord, dit-il enfin, résigné et abattu alors que je lui jette un regard sévère, presque haineux. Quelques jours après On est chez Paul et Catherine et l’alcool coule à flot. Je vais dans la cuisine préparer un autre mélange d’alcools et j’ai soudain l’idée de faire baiser les filles et vu leur état, cela ne doit pas être très ...
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