Catherine, Annie, Paul et moi
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
amourcach,
... difficile. Il fait chaud, la fenêtre est ouverte, l’air est absent. Annie porte un twin-set écru avec petite jupe moulante, des boucles d’oreille imitation émeraude et un vernis à ongle jaune assorti à ses babouches à talons, imitation croco. Catherine a les hanches serrées par une petite jupe en jean blanc et plus haut un petit débardeur à fleurs lui arrive au nombril, assorti à de légères ballerines bleues. Paul est, pour une fois, sans costard, en bermuda et polo crème. Moi, je ne sais plus ce que j’ai mis. Je me pose les fesses sur un grand fauteuil et je demande à Annie de venir s’asseoir sur mes genoux, et elle vient aussitôt, complétement saoule, manquant de tomber. Je l’embrasse sur la bouche et commence à la déshabiller. — Qu’est-ce que tu fais, chéri ? me dit-elle, en regardant Paul et Catherine qui se bécotent sur le canapé. Les filles échangent un petit signe de la tête. — Rien chérie, laisse-toi aller, je lui chuchote dans l’oreille alors que j’ai les mains sur ses petits seins. Annie regarde Catherine qui enlève son débardeur et laisse tomber ses seins entre les mains de Paul. Pour une fois, je trouve Annie jolie, je lui donne à boire le mélange que j’ai concocté. Le lecteur MP3 diffuse Céline Dion, paroles de Jean-Jacques Goldman. Je continue à lui triturer les seins tandis qu’elle mouille les lèvres dans son verre, puis elle le vide entièrement. — Tu aimes ça, salope ! lui dis-je en pinçant ses tétons. Elle commence à s’abandonner. — Oui, chéri… Oui. Elle ...
... commence à onduler son corps, et à presser une main sur ma braguette, le sexe de Paul est dans la bouche de Catherine. — Attend chérie, lui dis-je, on va changer de position. Je me lève, la mets complétement nue et je la ramène à côté de Catherine qui s’évertue à sucer Paul sur le canapé, les jambes tendues en arrière et la chatte poilue suspendue en l’air. — Vas-y, lèche-la, dis-je à Annie en pointant le con rebondi de Catherine.— Mais, dit-elle en riant, tu es fou, chéri.— Allez, tu ne trouves pas qu’elle est séduisante ?— Non, chéri, s’il te plaît, dit-elle hésitante, les yeux dans le vague. Mais je sens que l’alcool l’a bien émoustillée. — Allez, chérie, je veux vous voir faire l’amour… tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais fait l’amour avec une fille ?— Vas-y Annie, lèche-moi, dit Catherine qui accourt à mon secours tout en branlant Paul.— Mais… je ne suis pas lesbienne… balbutie Annie avec hésitation, en baissant la tête sur le derrière de Catherine.— Mais ce n’est pas être lesbienne, ça, chérie, c’est… juste… un fantasme… dis-je alors qu’elle plie les genoux à terre et commence à renifler Catherine. Elle met un coup de langue et Catherine tressaille. Comme revigorée par l’effet, Annie enfonce sa langue et commence à laper, en y mettant de plus en plus d’application et Catherine s’agite plus fort, ferme les yeux et abandonne complètement la queue de Paul qui s’écarte au bord du canapé, puis va s’affaler sur un fauteuil, la queue retombée. Je m’écarte et regarde avec ...