Catherine, Annie, Paul et moi
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
amourcach,
... fois, après je peux mourir, je m’en fous après, juste te sucer une fois. Ses pupilles brillent un reflet de platine, je me sens terrorisé. — Va te faire foutre, Paul, je m’en vais, tu ne me verras plus, dis-je en tentant de forcer le passage entre le lavabo et la cuvette de toilettes. Mais il me barre le chemin de tout son corps solide. Je tente du côté toilette, il met une jambe en acier, du côté lavabo, il tend le bras. Je recule, souffle, il se regarde dans le miroir et renifle encore à vide, et dès qu’il se tourne mon poing l’atteint en plein visage, exactement sur la pointe du nez. Ses yeux roulent en arrière, puis vers moi, et sa main se tend vers mon ventre mais il a perdu beaucoup de force, je l’esquive facilement et lui assène un autre coup de poing, sur l’œil droit cette fois. L’arcade est éclatée, un faisceau de sang gicle en l’air et vient souiller ma chemise verte Arrow achetée il y a deux jours à la SERAP de la Défense. Il trébuche sous la force du coup, ses pieds flanchent, il tente de s’appuyer sur le lavabo mais ses pieds le lâchent et il tombe par terre, la tête se cognant ...
... sur la cuvette des toilettes, puis repose par terre. Il n’y a pas de sang tout d’abord, à part le petit ruissellement de l’arcade, mais Paul me paraît inanimé. Je me rapproche de lui, me baisse et prends sa tête dans mes mains et je sens le sang, chaud et visqueux, couler de son crâne entre mes doigts. Effaré, je dépose sa tête et cours dans le salon en criant : — Catherine, Annie, appelez les pompiers. Je trouve le salon bizarrement vide. Où est Catherine ? Où est Annie ? La table basse est nettoyée, où sont les verres, où sont les bouteilles ? Je cours à la cuisine, je trouve que tout est rangé. — Mon Dieu, je suis devenu fou ! Je prends des serviettes et je reviens à la salle de bain et là, surprise, je ne trouve pas Paul. — Ils m’ont joué un tour, ils veulent me rendre fou, me dis-je en me regardant dans la glace, j’observe le reflet de mes mains qui n’ont plus aucune trace de sang. *************** — Nooooon, je ne suis pas fou ! Nooooooooon. C’est Annie qui met une main sur mon front. — Ça va chéri ? me dit-elle d’un petit murmure.— Oui… ça va… j’ai dû faire un très… très mauvais rêve.