1. Catherine, Annie, Paul et moi


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, ff, hh, Collègues / Travail Oral pénétratio, amourcach,

    ... Les trois me regardent et personne ne dit rien, je bois un autre verre en deux lampées, me demandant si j’ai été de mauvais goût, Seul Paul me regarde d’un œil compatissant. Je n’ai jamais baisé Catherine. — Hummm, fait Annie (je sens qu’elle va changer de sujet, et je pressens ce qu’elle va proposer), que diriez-vous d’un cinéma après, ou d’une boîte de nuit ?— Oui, en boîte, j’irais bien en boîte, crie Catherine avec enthousiasme. Paul ne paraît pas très ravi, alors que pour ma part, je reste neutre. — Comment on va y aller ? dit Paul, comme pour éviter une corvée. On n’a pas de bagnole.— Je prends la bagnole de maman, dit Catherine euphorique. Allez chéri, allez ! Le rouge est bon, Paul nous ouvre une deuxième bouteille alors que Catherine nous raconte en détails ce qu’elle pense que sera la cérémonie de son mariage, mais la couleur de la robe de la mariée, je m’en en fous complètement et je manque le lui dire. Au dessert, elle nous ramène des sorbets à la mangue et au kiwi. Le seul détail du mariage de Catherine et de Paul qui me semble présenter un très, très vague intérêt, c’est la chambre d’hôtel où ils iront passer la nuit de noces, car je compte bien me cacher dedans afin de voir comment cette pédale de Paul va pouvoir défoncer Catherine après lui avoir ôté sa robe de mariée. Je pourrais y cacher une petite caméra, ce serait plus réaliste. La pensée me rend malade. — Qui a lu le dernier Houellebecq ? leur dis-je avec un air malin, tout en sachant que personne ne ...
    ... saura me répondre.— J’ai lu le dernier Marc Levy, dit Annie, c’est l’histoire de…— J’ai dit Houellebecq, Annie, pas Levy ! Je la coupe sec, le morceau de gigot planté dans ma fourchette à l’entrée de ma bouche. — Ah, oui, c’est vrai, dit-elle, frustrée d’être coupée dans son élan, je ne lis pas Houellebecq. Je ne sais pas. Je dois peut être m’y mettre, mais cela me paraît un peu dur, trop intello pour moi.— Houellebecq intello ! dit Paul, mon œil, c’est un…— Merde, je savais que cela devait arriver, dis-je, en regardant la tache d’huile de gigot de deux centimètres sur ma chemise Pierre Cardin. Annie se lève aussitôt pour ramener une serviette et Catherine vient observer la tache en gros plan, me laissant renifler son parfum et admirer la moitié haute de ses seins alors que l’envie de lui serrer les fesses me démange. — C’est rien, dit Catherine en laissant la place à Annie qui arrive avec la serviette trempée d’eau et de lessive, cela va partir, dit-elle. Mais je n’en crois pas un mot et je fais le deuil de ma chemise soldée à soixante-dix euros alors qu’Annie est courbée sur moi pour frotter la tache et que je vois ses petits seins et même les mamelons et j’hésite encore à la baiser ce soir, car je n’aime pas ses seins. — Voilà, dit Annie, c’est fini. Catherine revient m’offrir la belle vue de ses seins ronds et opulents et faire un contrôle du travail d’Annie, et cette fois j’ai laissé tomber une main sur ses fesses mais je n’ai pas osé serrer. — Il reste un tout petit fond de ...
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