Catherine, Annie, Paul et moi
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
amourcach,
... jaune, dit Catherine, il suffira d’un pressing et ça partira. Alors que j’ai déjà fait le deuil de ma chemise Pierre-Cardin en coton imprimé achetée samedi dernier aux Galeries-Lafayette du boulevard Haussmann. — Merci les filles, vous êtes vraiment… vraiment … serviles !— C’est ça notre récompense, dit Catherine en regagnant sa place à côté de moi et devant Annie.— Je comprends maintenant pourquoi les musulmans ont quatre femmes, dis-je en riant !— Oui, pourquoi ? j’ai pas compris ! dit Catherine qui ne lit même pas des nouvelles érotiques.— Ben c’est clair, non ? Une qui essuie, une qui contrôle… Je me tais pour ne pas dire une qui suce et une qui avale. — Et les deux autres ? dit Sylvie.— Oh, elles trouveront bien des choses à faire. Bon, apparemment rien ne les fera rigoler ce soir. Pendant tout ce temps, Paul n’a fait que me regarder sans rien dire. Après le dessert, je m’assois sur la banquette-lit avec Paul. Les filles vont refaire leur maquillage dans la salle d’eau, nous les entendons agiter des boîtes et piquer des talons. Paul me sert un whisky, et s’en sert un lui-même et juste après je lui offre un petit cigare. Après deux verres, Catherine sort, c’est une vraie poupée. En passant devant moi, je lui fais une moue en reniflant son parfum et en murmurant « trop belle », mais elle fait comme si elle n’écoutait pas, ou pire, comme si je n’existais pas et elle va prendre la main de Paul. Annie vient se coller contre moi alors que je pense encore au mariage de Paul et ...
... Catherine. En boîte Ce soir, Dieu seul sait pourquoi, une dizaine de Noirs et autant d’Arabes attendent devant la boîte de nuit. Annie tente toujours d’expliquer à Catherine pourquoi elle préfère la boîte qui est de l’autre côté de Paris et Catherine maintient que celle où nous sommes est la meilleure, non seulement parce que plus proche de chez elle, mais aussi parce qu’il y a moins de gens déjantés et que le DJ n’abuse pas de l’acide-house et qu’elle pense qu’il y a certainement un lien entre les deux sans savoir exactement qui est la cause et qui est l’effet. Nous contournons la foule et nous nous dirigeons directement vers deux portiers, un colosse noir genre cinquante centimètres sous le pantalon et un robocop slave en catogan qui nous dévisagent vaguement puis se font signe de la tête et nous laissent entrer. Une fois à l’intérieur du hall, deux autres portiers plus humains nous indiquent la caisse où je vais avec Paul pour régler la note et ramener les tickets de boissons. Paul ne me laisse pas payer, il ne m’a jamais rien laissé payer parce qu’il gagne beaucoup plus que moi. Je me sens nerveux et je pense que c’est dû à l’idée que Paul va coucher avec Catherine ce soir alors que moi je vais devoir baiser Annie. À l’intérieur, je me sens un peu plus calme, certainement parce qu’on passe« Pour que tu m’aimes encore » de Céline Dion. Les filles installées dans un petit salon en demi-cercle, je vais au bar avec Paul où nous croisons deux créatures de rêve en petite tenue ...