Catherine, Annie, Paul et moi
Datte: 11/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
amourcach,
... Catherine l’en dissuade en le retenant par la main. Au bout de la piste, il y a un couloir que je ne connais que trop bien qui mène aux toilettes hommes. Là, je m’enferme avec Annie dans une cabine alors que deux énergumènes qui fument du hash nous regardent avec des grands sourires sur leurs lèvres brûlées. Je m’assois sur la cuvette et ouvre ma braguette et ma queue sort comme un ressort qui se décomprime. Annie plie les genoux avec peine, mal à l’aise sur ses hauts talons, et se met à me sucer et me lécher les couilles alors que, de mes mains, je donne le rythme à sa tête. Dix minutes après, elle a mal à la bouche. Me reviennent alors les images de Catherine et ma queue flanche. — Allons chez moi, lui dis-je.— Oui… c’est mieux, fait la pauvre, consternée, qui me branle toujours de toutes ses forces et qui sait que chez moi, elle ne trouvera pas de Marc Levy. Chez moi avec Annie Chez moi, à présent, je suis sur un fauteuil et Annie me prend dans sa bouche et me branle en tapant de sa langue sur mon gland jusqu’à ce que ma queue se redresse à nouveau. Elle a la mauvaise idée de dégrafer son corsage et me laisser voir sa peau blanche et ses petits seins qui rempliraient à peine des petites coupes de glace, ce qui m’oblige à maintenir une grande concentration pour ne pas penser aux seins de Catherine et à Paul et à l’idée qu’ils seraient en train, en ce moment même, de baiser ensemble. Elle enlève aussi sa petite jupe en cuir et sa culotte et veut enlever ses hauts talons ...
... bleus mais je lui fais signe de les garder, c’est peut-être la seule chose qui m’excite encore en elle, avec les raies bleues de ses cheveux noirs mi-longs dégradés et ses ongles bleus assortis. Elle se cambre sur moi de côté, les jambes droites pour que je puisse attraper sa chatte d’une main et introduire deux doigts tandis qu’elle tend la croupe en arrière. — On va au lit, lui dis-je en tapant sur son épaule osseuse. Pendant les dix minutes qu’elle m’astique la bite et que je lui doigte le con, je me sens enfin d’attaque alors qu’elle commence à gémir sans pouvoir se contrôler. Je la mets à quatre pattes sur le lit puis je lui écarte légèrement les jambes et je m’introduis facilement dans sa chatte pleine de mouille. — Baise-moi… baise-moi fort… très fort, arrive-t-elle à cracher entre ses gémissements alors que je lui donne des grands coups rapides et que je pétris ses bouts de seins insignifiants. Elle jouit. Tout son corps s’agite en petites secousses comme une casserole secouée, tandis que ma queue reste tendue, immobile dans son con, et lorsqu’elle se calme, je reprends mon va-et-vient encore plus fort et je la fais jouir encore une fois. Après, je me mets sur le dos et elle revient sucer avec douceur ma bite palpitante puis elle ramène ses genoux à mes flancs et vient s’empaler sur moi alors que j’envoie un doigt chercher son trou de cul et masser ses sphincters par des petits mouvements circulaires avant de l’enfoncer un tout petit peu en surveillant sa réaction. Elle ...