La cité perdue
Datte: 13/08/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
zoo,
attache,
historique,
aventure,
fantastiqu,
... ou trois aventures aussi brèves que décevantes. L’amour, elle le faisait en solitaire, en repensant à son amant perdu. Elle enleva lentement ses vêtements, faisant glisser ses mains le long de ses seins. Elle les soupesa face à la glace d’un air dubitatif ; un cadeau de sa mère dont elle se serait bien passé. Si certaines de ses contemporaines étaient prêtes à dépenser des fortunes en chirurgie esthétique pour obtenir un tel résultat, pour elle c’était un fardeau plus qu’un don du Ciel. Dire qu’elle avait même pensé à une réduction mammaire… Ils étaient lourds mais bien plantés, avec de larges aréoles rosées. Elle en caressa les pointes en soupirant. Qu’est-ce qui là-dedans rendait les hommes fous ? Elle porta ensuite les mains à son sexe, à peine caché par une discrète toison et insinua un doigt dans la fente. En réalité, elle n’était pas mal. Bien faite avec une tête bien pleine. Son corps était sa croix, mais ce soir elle allait en faire une arme. C’était à elle de savoir s’en servir au mieux de ses intérêts, et cette fois-ci tant pis pour la morale ! Personne ne la connaissait ici : elle pouvait y aller au culot. Elle fit couler une douche et se glissa en soupirant d’aise dans la cabine, laissant le jet d’eau tiède rafraîchir son corps gluant de transpiration. Accroupie, elle commença à se caresser, se mordant les lèvres pour ne pas gémir trop fort. Ses longs doigts jouaient avec son clitoris et s’insinuaient entre les lèvres humides de son sexe. Cela faisait tellement ...
... longtemps qu’elle n’avait pas eu un homme dans son lit… Elle se masturba furieusement en se voyant prise par son amant, plaquée contre la paroi vitrée, les seins écrasés contre le verre trempé. Son orgasme ne tarda pas à venir mais elle restait frustrée et insatisfaite. Sortie, elle se sécha, lissa ses cheveux et se regarda longuement dans la glace, jambes écartées, reins cambrés, seins tendus. Si elle le voulait, elle pouvait faire craquer n’importe quel homme.« Tous les moyens sont à ma disposition, alors allons-y ! » pensa-t-elle. Pour le rendez-vous, elle choisit de s’habiller sans ostentation. De toute manière, elle n’avait pas emporté de robe du soir. Elle enfila une petite jupe serrée qui mettait en valeur ses jambes et ses fesses rondes. Un chemisier en soie légèrement ouvert sur un soutien-gorge blanc à balconnet soulignait la rondeur de ses seins entre lesquels pendait une fine chaînette en or : dans une discussion, il n’était pas inutile d’étaler des signes extérieurs de richesse, appel discret à de possibles arrangements. Pour dégager sa nuque au port de danseuse, elle noua ses cheveux en une longue queue-de-cheval. Perchée sur ses talons aiguilles, parfumée, discrètement maquillée, elle était une machine de guerre prête à lancer son offensive de charme. Elle avait conscience de ressembler plus à une secrétaire de direction qu’à une call-girl, mais c’était déjà pas mal ; en tous cas mieux que son vieux short et ses chaussures de randonnée. Vers 19 heures on frappa à ...