Clin d'œil à LaComtesse (suite et fin)
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
couplus,
cadeau,
cocus,
essayage,
fête,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
piquepince,
confession,
... endroits, il suffit de lui demander. Marc se rend compte qu’il est peut-être allé trop loin sans s’en rendre compte. — Oh, excuse-moi, Armelle, je ne voudrais pas que tu croies que cette fille m’intéresse. C’est juste qu’elle est spéciale. Tu as vu comme cela ne la gênait pas de se promener devant moi, si peu vêtue ? Au fait, pourquoi « Mari Fuchsia » ? Elles sont au courant pour nous ?— Un peu. J’ai bien été obligée de leur dire ton goût pour cette couleur lorsque je suis retournée les voir et commander la même robe.— C’est un peu gênant.— Pas du tout. Elles m’envient d’avoir un mari si attentionné et encore amoureux. Je suis certaine que tu aurais toutes tes chances avec elles. Armelle sourit, complice, et ajoute dans un murmure : — Je n’ai pas pu m’empêcher de dire combien tu étais un amant parfait.— Armelle, allons… Ne dis pas des choses comme cela. Moi… des maîtresses ? Après ce que j’ai fait ? Ce serait pire qu’une trahison, comment pourrais-tu me pardonner ?— C’est juste pour parler, chéri. Tu sais j’ai toujours pensé que tu avais une maîtresse lorsque tu travaillais loin de la maison. Cela ne me dérangeait pas outre mesure, du moment que tu me revenais. Vous, les hommes, avez des besoins !— Ah… Et toi ? Marc ose poser la question qu’il s’est maintes fois posée à l’époque. Mais il refusait de vraiment chercher la réponse. Comment concilier sa jalousie qu’il sentait sous-jacente et la liberté que ses absences donnaient à sa femme ? Depuis sa tentative de suicide, il a ...
... fait un vrai travail sur lui-même. Maintenant, il a compris que c’est son ego qui a été touché par la présumée infidélité d’Armelle. — Des dizaines de fois, le provoque Armelle en riant.— Ah ! dit Marc en entrant dans son jeu.— Aucun, mon chéri. Mais je n’ai pas de mérite : personne ne m’a fait la cour. En plus, je t’ai toujours aimé.— Les hommes ne savent pas trouver la perle qu’ils ont sous les yeux.— C’est très gentil de me dire cela. Mais qu’est-ce que tu dirais si j’avais eu un amant ?— Un amant ?— Oui !— Il y a quelque mois, je pense que ma réaction aurait été disproportionnée, mais j’ai beaucoup réfléchi et maintenant je pense que j’accepterais. Oui, je crois. Surtout si c’est toi qui me l’apprends. Pas un autre ou la rumeur. Armelle enlace son mari dans un mouvement d’une grande tendresse. Dans l’oreille, elle lui susurre comme un secret : — Jamais, je ne t’ai jamais trompé.— Merci. Mais Armelle n’est pas vraiment convaincue des bonnes résolutions de son mari. Elle décide d’avancer un pion en profitant de cet instant de confidences. — Tu sais, je suis heureuse que cette gamine t’ait émoustillé. Mais j’ai remarqué aussi comment elle te regardait. Je crois bien que tu lui faisais aussi de l’effet.— Armelle, allons, ne dis pas des choses comme cela ; elle est si jeune… Je ne suis qu’un vieux pour elle.— Justement. Si tu couchais avec, je crois que je serais fière que mon mari puisse séduire une femme comme elle, si libérée, sûrement très expérimentée, et qui doit avoir ...