Clin d'œil à LaComtesse (suite et fin)
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
couplus,
cadeau,
cocus,
essayage,
fête,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
échange,
piquepince,
confession,
... quelques minutes. Va dans la chambre, je te réserve une surprise, lui répond la femme en souriant d’un air complice.— Coquine… Marc n’insiste pas. Le mot "surprise" lui fait entrevoir une soirée avec sa femme qui va se charger de mener leurs ébats, gage d’un érotisme assuré. En quelques pas, il traverse le couloir pour aller dans la chambre. Étrangement, il sent une odeur de chaud. Pourtant il est certain d’avoir tout éteint avant de partir. L’odeur provient de la chambre. Une odeur de bougies odorantes. En ouvrant la porte, le parfum se déclare et il découvre qu’effectivement des bougies brûlent par endroits, donnant une lumière changeante à la pièce. Mais ce n’est pas la seule bizarrerie. Un corps est sur le lit. Un corps de femme, nue. — Enfin vous voici, dit la tache blanche. J’allais m’endormir.— Mais qui êtes- vous ? Qu’est ce que vous faites dans mon lit ? La tache bouge, se redresse, et Marc découvre qu’il connaît la femme. C’est la vendeuse. La fille aux piercings. Elle se dresse maintenant face à lui. Parfaitement à son aise. Elle sourit. — Comment êtes-vous entrée ? Il faut partir, ma femme va bientôt arriver. Il ne faudrait pas qu’elle puisse croire…— Vous êtes mignon ! Devinez qui m’a donné la clef ? Devinez qui m’a fait comprendre que vous aviez envie de moi ? Mais Armelle, bien sûr. Allez, approchez, il ne faut pas la décevoir. Marc est saisi par cet aveu. Sa femme qui lui propose une maîtresse ! Une maîtresse qu’elle met dans son lit. Mais pendant qu’il ...
... s’interroge, Chloé s’est approchée et commence déjà à l’embrasser, d’abord d’un baiser tendre sur les lèvres puis, d’une langue intrusive, c’est elle qui envahit sa bouche. La première sensation qu’il perçoit, c’est le contact du métal tiède qui transperce la lèvre, mais surtout de la boule sur la langue qui procure un toucher particulier. C’est le goût du fruit défendu. Mais un fruit qui a été placé bien en évidence au milieu de la corbeille. Marc a un dernier sursaut alors que déjà Chloé s’est collée à lui et que son corps s’abandonne. — Armelle ? arrive-t-il à dire dans un souffle alors qu’il se sent faiblir sous les caresses de la vendeuse.— Elle attend. Elle nous laisse un peu seuls. Elle viendra plus tard. Il est rassuré. Il n’est pas vraiment seul. Si elle n’est pas physiquement avec lui, son esprit l’accompagne. Maintenant il se laisse aller. C’est la femme qui le déshabille. Nu comme elle, ils se découvrent. Les seins lui paraissent plus gros ; les tétons, des pointes transpercées dont il ne peut s’empêcher d’en sucer le métal. Elle s’allonge sur le lit. Il la suit, découvre des mains et des yeux les lieux secrets que son fantasme a déjà imaginés.« Comment peut-on s’infliger pareilles déformations ? » Il s’approche pour voir de plus près le capuchon du petit bouton percé de part en part, et en parfaite symétrie un anneau sur chaque petite lèvre. Par contre, dès que ses lèvres effleurent les objets, Chloé réagit aussitôt, confirmant l’effet amplificateur de cette pratique. ...