Essayages en tous genres
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
grosseins,
magasin,
essayage,
intermast,
Oral
humour,
fantastiq,
... ajoutai-je tout naturellement en m’éloignant. Désemparé, il nous laissa partir sans réagir. Je passai rapidement récupérer la bazoukoline à l’accueil et, tandis que nous sortions enfin du magasin, j’aperçus le vigile derrière nous, un téléphone à la main et les yeux fixés sur les fesses de Pandore. Ça puait ! Il allait sans doute pas falloir qu’on s’attarde trop dans le coin… Mais je devais encore leur trouver des soutifs et des culottes. On courut presque jusqu’à une boutique de lingerie sur un boulevard voisin. La vendeuse, qui était aux prises avec une petite vieille, fit une drôle de tronche en nous voyant débarquer avec nos trois sacs remplis de fringue, notre engin en peaux de bête séchées et notre théière. Elle grimaça encore un peu en avisant les « -30 % » écrits en gros sur les seins des filles. — Est-ce que je peux vous aider ? finit-elle quand même par nous proposer d’un ton sévère.— Oui, avouai-je, mais nous attendrons que vous ayez terminé, prenez votre temps.— Je suis à vous dans une minute. En effet, la mémé était en train de payer et sortit bientôt non sans nous avoir lancé un regard de tueur. La vendeuse rappliqua vers nous ; je lui refis mon sketch en tentant de donner l’air d’y croire : — C’est un peu compliqué, composai-je d’une voix moelleuse, mes amies sont étrangères et se sont fait dérober toutes leurs affaires. Nous venons de leur trouver quelques habits, mais il leur faut également des sous-vêtements et elles ignorent quelle taille il leur faut ...
... précisément. Elle parut quelque peu perplexe, mais considéra un instant attentivement la poitrine de Pandore avant de s’exclamer : — C’est au moins du D, c’est sûr, peut-être du E. Elle s’arma ensuite d’un long ruban gradué qu’elle vint enrouler sous la poitrine de Pandore qui semblait ravie qu’on s’occupe d’elle. — Respirez fort, mademoiselle. Voilà, maintenant, expirez à fond. Hmmm… Bien. Et les fesses, voyons cela… Hmmm… Très bien. À l’autre jeune femme, à présent. Ça a l’air sensiblement pareil. Venez par ici… Elle refit la même manœuvre avec Azura, puis nous ordonna finalement : — Ne bougez pas, je vais vous chercher quelques modèles. Pendant qu’elle farfouillait dans divers présentoirs, j’examinai attentivement tous les ensembles de dentelle, ou de résille, les strings, les bustiers, les caracos, les corsages, les brassières… Y avait des trucs, je savais même pas que ça existait… Saisissant quelques-unes des culottes que je trouvais les plus jolies, je demandai à mes compagnes : — Ça vous plairait, ça, les filles ? Elles acquiescèrent, apparemment ravies, mais la vendeuse, depuis l’autre bout du magasin, me vilipenda énergiquement : — Voyons monsieur ! Vous n’y pensez pas ! Dépareiller un ensemble de sous-vêtements, c’est comme porter un bikini de deux couleurs différentes, comme porter un smoking avec des baskets, comme aller à Venise pour faire du pédalo, comme servir du foie gras avec un gros côtes-du-rhône, comme s’épiler le maillot mais pas les aisselles, comme faire ...