1. Essayages en tous genres


    Datte: 28/07/2017, Catégories: fh, ff, grosseins, magasin, essayage, intermast, Oral humour, fantastiq,

    ... l’amour en gardant ses chaussettes, comme se parfumer délicatement mais péter ensuite toute la journée… Elle s’arrêta, essoufflée. Je reposai discrètement les culottes à leur place, tandis qu’elle venait finalement nous présenter les modèles qu’elle avait choisis : — Alors, tout d’abord, pour cette demoiselle, j’ai pensé à cet ensemble en dentelle d’Helsinki, très soyeux et très doux, parfaitement résistant à toute tension, friction ou mouvement de balancier, de couleur bleu pâle, très légèrement chatoyant sous un éclairage feutré, très sensi…— Nous vous faisons entièrement confiance, la coupai-je, déjà saoulé ; celui-ci est magnifique. Ces deux-là aussi sont parfaits, nous prendr… Mais elle m’interrompit à son tour tout pareillement : — Monsieur, sachez que l’on n’achète pas un ensemble de sous-vêtements comme on achète une boîte de préservatifs ! Il faut les essayer, les effleurer, les sentir, se les approprier…— Parce que vous croyez que je fais autrement, avec mes capotes ? Là, quand même, elle ne sut pas quoi répondre. Mais elle termina toutefois : — De toute façon, ce n’est pas à vous de choisir pour elles ! Elle tendit le soutif et la culotte à Pandore en lui faisant un grand sourire : — Tenez, mademoiselle ; vous disposerez d’une cabine vers le fond du magasin.— Pas besoin de cabine, ma puce, lançai-je pour faire chier la vendeuse, tu peux l’essayer ici. La dame t’aidera à l’ajuster… Et hop ! Pandore retira son sous-pull à -30%, libérant ses deux seins parfaits à ...
    ... mes yeux avides et à ceux à la fois impressionnés, gênés, agacés, et même jaloux, de la vendeuse. — Azura, poursuivis-je, tu n’as qu’à en essayer un autre pendant ce temps-là. La vendeuse me jeta un regard abominable, puis un autre soupçonneux aux seins qu’Azura venait de dévoiler. Elle tendit finalement à cette dernière un autre ensemble plutôt rose, presque violet, en commençant à expliquer que c’était aussi en dentelle de je sais pas où et blablabla. Je n’écoutais pas, me concentrant plutôt sur la partie visuelle du spectacle. Je m’assis confortablement sur un espèce de large pouf qui traînait là et contemplai la vendeuse ajuster habilement le premier soutif à Pandore, tandis qu’Azura tentait maladroitement de mettre le second. La marchande l’aida ensuite à le refermer, avant de venir passer ses mains sous leurs poitrines, à l’une et l’autre, qu’elle soupesa tranquillement en questionnant : — Alors ? Comment vous sentez-vous ? Comme les filles ne répondaient rien et se contentaient de pencher la tête pour regarder leurs seins, elle déclara : — Tenez, vous avez un miroir ici. Azura et Pandore s’observèrent un instant en tournant devant la glace, apparemment satisfaites. C’est vrai que c’était magnifique ; ça leur allait l’une et l’autre à ravir, et ça mettait leur poitrine encore plus en valeur, si c’était possible. Dire qu’elles étaient hautement désirables aurait été mollasson… — La taille et la coupe vous conviennent-elles ? s’enquit encore la vendeuse. Devant les yeux ...
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