Essayages en tous genres
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
grosseins,
magasin,
essayage,
intermast,
Oral
humour,
fantastiq,
... indécis de mes deux naïades, elle glissa carrément une main à l’intérieur du soutien-gorge de Pandore, entre son sein et le tissu. De là où j’étais assis et de mon point de vue de mec excité, j’eus l’impression que la vérification de la vendeuse était quelque peu exagérée. Elle refit la même chose aux seins d’Azura, s’attardant encore à mon avis plus que de raison à les tâter doucement sous le textile. Je commençais à fantasmer grave et à bander très sérieusement. Je devais être en train de rêver complètement ; je tentais de me reprendre et de ne pas me laisser guider que par ma queue. De penser à autre chose ; par exemple, il fallait que je trouve un moyen de faire en sorte que Bazouk me fabrique du fric ou un truc qui m’en donnerait. Mais la vendeuse vint ensuite se coller tout contre Pandore, derrière elle face à la glace, et expliqua : — Passons au bas, maintenant. Retirez ce pantalon, s’il vous plaît. Et joignant le geste à la parole, elle défit tout naturellement les boutons qui tenaient le jean, puis passa ses mains le long des hanches de Pandore, jusqu’à ses fesses, baissant peu à peu le pantalon étroit. Là je ne rêvais plus !!! C’était tout bonnement hallucinant ! Elle fit tourner doucement ses mains sur les fesses de ma nymphe et pressa son corps contre elle, approchant son visage de son cou et murmurant : — Et je vois que vous ne portez pas non plus de culotte… Je me frottai les yeux. Dans le miroir, je devinais Pandore, les yeux mi-clos, la tête légèrement ...
... penchée en arrière, son bassin oscillant doucement. À côté des deux femmes, Azura regardait la scène avec un léger sourire. J’étais parfaitement sidéré ! Que ça existe en fantasme dans des histoires de cul, ça je le savais bien, mais en vrai… La voix de la vendeuse me tira de ma rêverie : — Monsieur voudra bien fermer la porte du magasin ? Je bafouillai je ne sais quoi et me levai pour aller fermer la porte à clef et tourner les persiennes, puis revins m’installer, tirant le pouf pour me rapprocher des filles. Je détaillai du regard la commerçante ; elle avait une quarantaine d’années, était grande et assez fine, pas extrêmement jolie et avec un vrai côté prout-prout, mais toutefois loin d’être laide. Et surtout, surtout, son manège m’excitait furieusement. Elle avait complètement ôté le jean de Pandore et la caressait maintenant franchement, une main sur sa poitrine, l’autre sous ses fesses ; et elle l’embrassait dans le cou. Elle lui retira doucement son soutien-gorge en dentelle du pôle Nord, qu’elle envoya négligemment dans ma direction avec un sourire provocateur à mon attention, puis referma ses mains sur les gros seins que je devinais pointer d’excitation. Elle fit bientôt se retourner Pandore et l’embrassa à pleine bouche en continuant de la peloter avidement. C’en était trop pour moi : je déboutonnai hâtivement les boutons de mon jean et glissai une main jusqu’à mon sexe sérieusement gonflé. M’ayant sans doute aperçu, Azura s’approcha de moi en roulant des hanches et en ...