Essayages en tous genres
Datte: 28/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
grosseins,
magasin,
essayage,
intermast,
Oral
humour,
fantastiq,
... retirant son soutien-gorge de prêt, puis m’enjamba pour venir, toujours vêtue de son jean trop serré, s’agenouiller sur le pouf, à califourchon sur mes cuisses. Je me mis à dévorer sa lourde poitrine et à caresser ses fesses à travers le jean, sans plus prêter la moindre attention à Pandore et sa nouvelle copine, que j’entendais toutefois soupirer ardemment l’une et l’autre. Azura se releva bientôt pour venir ensuite s’agenouiller entre mes jambes écartées et extraire avec quelque peine de mon caleçon mon sexe parfaitement rigide qu’elle se mit à branler et à sucer rapidement. Ses caresses étaient divines, je gémissais sans retenue ; je tournai mes yeux alternativement vers les siens, facétieux et avides, et vers la vendeuse et Pandore qui se masturbaient mutuellement en geignant aussi. Mais j’entendis bientôt la voix de la commerçante : — Non, mademoiselle ! Elle semblait s’adresser à Azura qui me suçait encore avec application. — Laissez tomber ce mâle immonde et sa queue abjecte ! Quoi ? C’était moi, le mâle immonde et la queue abjecte ? — Je vous apprendrai des plaisirs infiniment plus agréables… Un homme ne mérite pas cela ! Et voilà ! C’était trop beau ! Cette connasse était évidemment une intégriste de la gouinologie ! Elle était toujours en train de caresser Pandore, mais me jetait un regard toujours plus dédaigneux à mesure qu’Azura se dévouait toujours plus à ses caresses. — Tu sais où je te la fous, ma queue abjecte ? finis-je par beugler.— Vous êtes bien comme ...
... tous ces hommes, à ne parler qu’avec votre bite ! Remarque, ça me faisait de l’effet : je débandais à vue… — Pandore, laisse tomber cette greluche, braillai-je ; prends tes soutifs et on se tire ! Je me renfroquai en caressant doucement la tête d’Azura et en lui faisant signe que ça s’arrêtait là. Pandore hésitait quant à la conduite à tenir. Mais quand elle me vit me relever, attraper les deux soutifs qui traînaient à terre et les culottes qui allaient avec, reprendre mes peignoirs, ma théière et ma bazoukoline, et les trois sacs de fringues, elle décida de se rhabiller. Azura ramassa également son sous-pull soldé et son soutien-gorge en dentelle tibétaine. La vendeuse faisait quand même un peu la gueule de voir que Pandore lui échappait. — Mesdemoiselles, clama-t-elle encore, libérez-vous du joug des mâles, qui se croient pour toujours supérieurs ! En me montrant du doigt, elle s’adressa plus précisément à Pandore : — Larguez ce gros tas de boue, et vous serez toujours les bienvenues ici…— C’est comme ça qu’on traite les clients, ici ? Eh ben, tu sais ce qu’il te dit, le gros tas de boue ? lançai-je encore en sortant du magasin.— Arrêtez ! Ces ensembles coûtent 70 € pièce ! Revenez !— Va te faire mettre ! Ça te fera du bien !— Revenez, ou j’appelle la police ! Je sortis finalement de la boutique, suivi fort heureusement de près par Azura et Pandore, qui avaient quand même l’air surprises de l’évolution de la scène. Je leur expliquai brièvement que c’était franchement pas comme ...