Une mise en situation réconfortante
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
fépilée,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
odeurs,
massage,
intermast,
fdanus,
tutu,
lettre,
fsoumisaf,
... qui enchaîne à mon intention : Madame ne souhaite-t-elle pas que je lui fasse couler un bain ? Ce serait très délassant après sa journée… Elle hésite une seconde puis ajoute : — Nous pouvons aussi vous proposer d’y joindre un massage relaxant, si vous le désirez.— Ma foi, peut-être, je ne sais trop… Je fais mine de retenir ma décision en jetant un coup d’œil circulaire. — Mais, je ne vois pas comment là où nous sommes.— Ici, Madame, m’indique Magali en repliant une cloison du côté opposé au vestiaire. Voyez, toutes nos chambres sont parfaitement équipées. Sans attendre ma réponse, elle règle le mitigeur d’une baignoire, verse un mélange de sels de bain, et revient déboutonner ma robe. — Vous êtes parfaite, Mademoiselle. (Mon compliment est sincère.) Et, vous m’assisteriez également dans ma toilette ? J’hésite un instant à sa façon, avant de poursuivre : — Pour le massage aussi ?— Je suis à votre service, Madame, comme toutes mes collègues, m’assure-t-elle. Quoique vous désiriez. Ses doigts légers effleurent sensuellement mes épaules en faisant glisser les bretelles du soutien-gorge. Je m’apprête à la remercier d’un sourire appuyé quand : — Voilà, voilà ! Voilà la collation promise ! La volubile madame C*** fait irruption en chantonnant, suivie de la petite Cyrielle qui pousse, au grand soulagement de Céline, une desserte couverte de boissons et de pâtisseries. Leurs regards interdits vont de ma personne métamorphosée, à ton activité insolite parmi les autres stagiaires, ...
... dont l’embarras est manifeste. Tu examines en effet leurs culottes, une à une, avec attention, levant parfois un sourcil interrogateur ou réprobateur devant telle ou telle. J’en vois une rougir brusquement quand tu la fixes. Ses yeux expriment la honte et la crainte. Ses collègues détournent la tête. Finalement, je préfère être à ma place qu’à la leur ! Madame C*** doit penser comme moi ; pour Cyrielle, je n’en suis pas certaine… Les mains douces de Magali ont libéré ma poitrine, soutenant aimablement mes globes lourds pour les dégager des bonnets. Ses doigts glissent maintenant sur mes fesses en accompagnant la descente de la culotte, ses pouces facilitent le mouvement en décollant la soie de mes lèvres intimes. Un genou au sol, la tête à hauteur de mon pubis, elle ne me regarde pas. Mais quand, par jeu, je pousse mon bassin en avant, la pression de ses pouces se fait plus sensible et plus tendre sur les bords de ma vulve. J’apprécie la caresse de ses paumes tout le long de mes jambes lorsqu’elle amène avec soin le fin tissu sur mes chevilles. Sa main ferme et amicale se pose au pli d’un genou pour soulever ma cuisse. La chaleur de sa paume est délicieuse. Je m’abandonne à ce contact tandis qu’elle libère ma cheville de l’entrave du slip. D’une pression plus appuyée, elle m’invite à rehausser le mollet pour passer sous le talon. Elle change de main et de jambe. Toujours aussi précise et obligeante, elle répète ses gestes et les prolonge. Ses attouchements me réchauffent le ...