Une mise en situation réconfortante
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
fépilée,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
odeurs,
massage,
intermast,
fdanus,
tutu,
lettre,
fsoumisaf,
... ventre, j’aimerais qu’ils ne cessent jamais. Avant de reposer mon pied, elle lève la tête vers moi. — Vous avez une très belle peau, Madame, vos genoux sont si sensibles ; c’est un privilège de vous servir. En me regardant de bas en haut, elle ne peut manquer d’observer l’humidité des nymphes dans ma fente entrouverte par la pose. Les petits bruits mouillés accompagnant les mouvements précédents n’ont pu lui échapper non plus. Elle n’en laisse rien paraître sinon une légère palpitation des narines lorsqu’elle inspire profondément mon odeur sexuelle. Déjà redressée, elle pose une serviette de bain en châle sur mes épaules. — Je vais voir si le bain est prêt, Madame. J’acquiesce de la tête, guettant l’instant où elle se tourne vers la baignoire. Je vois enfin sa partie pile. Deux hémisphères mats et musclés repoussent le bas du top. L’extrémité des nattes frôle les fesses. Le sillon profond qui les sépare ondule au gré d’une démarche de danseuse. Cette fille a un cul superbe qui me fait mouiller. Quand elle se penche pour tâter l’eau, une large enfourchure dévoile entre ses cuisses un surprenant abricot rose. Magali ne semble pas se soucier de la vue qu’elle m’offre. Elle prend son temps pour agiter la mousse du bain. J’en profite pour satisfaire mon voyeurisme. Je suis curieuse de son petit trou : est-il foncé et mat comme ses fesses, ou rose pâle comme ses lèvres ? Et sa touffe ? Noir de geai comme ses cheveux, ou tirant sur le châtain ? Ou bien lisse, puisque je n’ai pas ...
... remarqué de poils ? Perdue dans mes pensées, je caresse distraitement mes seins d’une main. L’autre s’égare innocemment sur ma propre chatte. L’index glisse entre mes grosses lèvres. Il y trouve un suc moelleux qu’il étale un peu plus haut en pressant la petite boule dure sous son capuchon… Une voix nouvelle me surprend ! — Bonsoir, Madame, voici l’en-cas que vous avez commandé. Cela vous convient ? Je me retourne sans penser (ou vouloir ?) suspendre l’action de mes mains. Céline se tient modestement face à moi avec son plateau. Sa poitrine ronde tend sa petite robe bleu pastel, fermée sur le devant. Elle garde les yeux baissés, fixés en fait sur le jeu de mes doigts sur mon clito. Pour quitter sa culotte, elle a dû défaire les boutons jusqu’à la taille. Elle a dû oublier aussi de les reboutonner… Je fixe moi aussi le haut de ses cuisses, là où les pans de la robe se séparent. Je ne devine qu’une vague forme claire, mais j’accentue volontairement les caresses sur mon corps. Céline rougit. Elle reprend en balbutiant : — C’est bien le thé et les gâteaux que vous désiriez, Madame ? Où dois-je poser votre plateau ? Le voulez-vous avant votre bain ? Je peux revenir après si vous préférez.— Cela ira très bien, ma petite. (Tiens, pourquoi ce mot m’est-il venu inconsciemment ?) Mais vous m’avez fait languir ! Maintenant j’ai très faim et le bain est prêt. Voyez, votre collègue m’attend. Vous m’obligez à choisir entre un bain chaud le ventre vide, ou un bain froid… C’est très désagréable ...