Le charme discret de l'agent immobilier
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
collection,
... faire admirer les volumes gracieux de l’appartement. Je craquai comme un iceberg à la fonte des glaces et sans crier gare, je jetai ma main sur son cul bien rempli. Elle ne dit pas grand chose, elle avait sacrément l’habitude. Nous n’allions pas échanger cent mots, ce qui me facilitait la tâche. Je lui exposai mon désir d’homme, pour l’effrayer et la rassurer sur la jeunesse de ses charmes. D’une main, je tirai légèrement ses cheveux et de l’autre, j’enserrai son cou. Mon excitation grimpait comme une masse de foire. « Oh, arrêtez, non, non, me dit-elle, pas comme ça ! Plus doucement ! » Je la renversai sur la table et elle se débarrassa de ses talons aiguilles. Je roulai ses bas qui étaient joliment décorés et comme de bien entendu, elle ne portait pas de culotte. La tête en arrière, elle haletait. Le sexe était sa drogue et son surplus de graisse me bouleversa. J’enfournai ma langue dans son orifice gluant et pris à deux mains ses hanches débordantes. Je ralentis léger sur son clitoris qui ressemblait à un pois géant. Elle transpirait et dégageait une odeur démentielle. Ma langue remonta sur son nombril mais je fus arrêté par son tailleur. J’en descendis la fermeture éclair et le fis descendre précautionneusement le long de ses jambes. C’était aussi ça, l’habitude. Elle m’en fut reconnaissante et je déposai sa jupe sur une chaise. Je déboutonnai son chemisier et découvris un soutien-gorge en dentelle vert pastel. Je ne le dégrafai pas car j’arrivai sans peine à téter ses ...
... énormes mamelons couleur marron foncé. Fallait-il qu’elle aimât le sexe car je la prenais à l’occidentale, avec mon égoïsme triomphant. Je mordis ses seins tout en introduisant deux, trois, quatre doigts dans son conin transformé en fontaine. Son intérieur était soyeux comme du foie de veau. J’accélérai la cadence et ma vache laitière atteignit son premier orgasme. La qualité de sa technique m’impressionnait, rien à dire, avec un concombre, le résultat aurait été le même. Le jeu commençait car dans l’histoire, ma bite était toujours sagement gonflée dans mon pantalon. J’enlevai la veste de son tailleur et comme un premier communiant, je la rangeai à côté de la jupe. Son chemisier n’avait pas de manches, ce qui décupla mes forces. Ma langue se précipita sous ses aisselles qui n’étaient pas épilées et ce fut deux nouveaux sexes qui s’offrirent à moi. Sa transpiration était délicieusement parfumée et je bus sa peau comme une liqueur à quarante degrés. Elle me griffa le dos à travers ma chemise et me susurra à l’oreille des mots grossiers qui firent mouche. Jusque là, j’avais évité le pire, mais il fallait bien l’embrasser. Sa langue recherchait les points sensibles de mon palais et de ses mains agiles, elle dévoila mon torse imberbe. Je remarquai que ses ongles étaient peints en noir et ce détail me toucha inexplicablement, surtout que le fétichisme n’était pas ma tasse de thé. Cette furie me lacérait consciencieusement, à tel point, que je me demandai quelle était la nature ...