Le charme discret de l'agent immobilier
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
collection,
... exacte de ses intentions. N’avais-je pas affaire à une chienne de garde ? Cette idée me perturba car je fus à deux doigts de tout lâcher. D’un zip très pro, je libérai mon sexe et la pénétration fut phénoménale. Je m’écrasai de tout mon poids sur elle et la travaillai en douceur de peur de ne pas me retenir. « Oh, oui, oui, oui, ma siffla-t-elle. » Je lui collai ma paume sur sa bouche en cœur, cette femelle était un vrai miracle et son con ressemblait à un champ de coton du sud des Etats-Unis. Elle saisit ma tête et la plongea dans sa poitrine flasque. Elle écarta les jambes et les leva vers le ciel comme une croyante vindicative. Sa chevelure défaite voltigeait dans les airs, méduse démente dans les bras de son amant et je l’explorai au plus profond. D’un coup, elle rabattit ses jambes et avec une force surréelle, elle me retint de la pénétrer complètement. Ce mouvement fut proprement divin, j’éraflai sa chatte et une partie infime de mon gland rentrait en elle. L’envie l’emporta et en la forçant à m’accepter en entier, je déchargeai un sperme chaud et compact pendant au moins trente secondes. Elle eut l’air déçu de la rapidité de la chose mais pas d’importance car je bandai toujours comme un taureau. Je la retournai violemment et elle étala ses bras sur la table. Elle suait de tous les pores de sa peau et frottait ses membres contre le rebord, elle était remuée par les spasmes du manque. Ce spectacle m’émut et je la massai avec un rien d’attention. Elle portait toujours ...
... son chemisier et son soutif vert et elle gémissait. « Ne me laisse pas comme ça, ne me laisse pas comme ça. » Hors de question. Mon cerveau était glué sur son petit trou et je m’agenouillai derrière elle. Elle écarta ses cuisses huileuses, des gouttes de perle suintaient de partout et ma langue la prépara pour une sodomie d’enfer. Elle apprécia l’effort, sa main gauche excita mon sexe encore chaud et sa main droite s’agrippa au bord opposé de la table. Elle était propre et ma langue savoura cette intrusion dans son rectum. « Vas-y ! Vas-y ! me supplia-t-elle d’une voix de nonne. » Alors, gracieux, j’introduisis mon organe dans un souffle rappelant la musique wagnérienne. En forçant, j’arrivai à destination. Elle bougeait avec délice et frottait sa poitrine contre le plateau de la table. J’admirai son corps de derrière, en chair à souhait. Son deuxième orgasme fut une secousse sismique de magnitude sept sur l’échelle de Richter, un séisme insensé et absurde. Je n’avais pas mon compte et malgré ses cris de douleurs, j’achevai mon travail pour revenir à égalité. Nous étions silencieux l’un à côté de l’autre et je proposai de passer à la salle de bains pour refroidir nos corps en fusion. Peine perdue, la vision de son corps aux proportions orientales raviva mon démoniaque ami. Elle était là pour faire le plein et finalement, ce manque me la rendit sympathique. Elle comprit ce que je désirai et elle caressa mon corps. Elle me déshabilla et je me retrouvai nu comme l’enfant jésus. ...