1. Le charme discret de l'agent immobilier


    Datte: 16/08/2018, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail collection,

    ... Elle ôta son chemisier et dégrafa son soutien-gorge. Ses tétons encore rouges de l’effort imprimèrent un ballet léger sur ma peau. J’essayais de respirer, d’avoir recours au yoga mais ses mouvements précis donnaient l’impression que trois femmes me couvraient de loukoums. Chacun de ses membres étaient à la tâche et une nouvelle trique s’empara de mon pénis. Elle se leva et s’agenouilla en tournant autour de moi. Ses mains, ses tétons, sa chevelure étaient en action, ses pieds me frottaient les tibias et dans une lente descente, sa bouche encercla mon sexe. Elle me la joua gorge profonde et joignant ses mains autour de mon popaul, elle entama une longue prière. Sa langue agissait par à coups sur mon méat, pas de doute, je n’étais qu’un numéro sur une longue liste. Je n’avais pas envie qu’elle avalât le liquide de la vie alors je la levai et la tournai contre le lavabo. Elle faisait face à un miroir, juste à la bonne hauteur pour la bourrer comme il se devait. À vrai dire, mon excitation était en chute libre et je terminai à la va-vite sans profiter des possibilités quasi-illimitées de cette diva du sexe. Je retins néanmoins la vision de sa bouche qui se tordit de plaisir lors de son troisième orgasme. Ce fut un cri préhistorique. La séance de rhabillage n’eut rien de glorieux. Nos yeux s’évitaient alors que nous étions habités de l’odeur de l’autre. Elle prit une douche pour éliminer mon passage et notre ...
    ... échange de fluide. Elle n’avait pas apprécié la plaisanterie et elle n’avait aucune envie d’échanger nos numéros de téléphone. Nos cœurs ne battaient plus et pourtant, au seuil de la porte, alors que nous étions prêts à déguerpir, je l’attrapai par la main, l’enlaçai tendrement et je l’embrassai comme un adolescent. Il faut tout avouer, n’est-ce pas ! Elle lâcha la poignée de la porte et fut surprise par mon geste d’amour. Ma main glissa sous son tailleur et avec la délicatesse d’une fleur, j’imprimai d’infimes variations sur l’obsédant fantasme. Elle se reposa sur ma virilité et elle me chuchota : mon amour, tu peux donc être doux. Je refermai la porte et pour la première fois, nous fîmes l’amour dans un élan sacré. L’affaire était conclue, quelques formalités à remplir et je pouvais emménager. Sur un morceau de papier, elle avait griffonné son prénom et un téléphone et deux jours plus tard, seul dans un bar, je déprimai devant mon double whisky sec. « T’es vraiment le roi des cons, pensais-je, le prince des goujats, un pauvre type accroc à son zizi. Mais bien sûr qu’elle attend un homme, qu’est-ce que tu crois. Et puis, elle est si douce… Et merde… » Je fredonnai un blues, j’imaginai une maison avec femme et enfants, et lentement, je sirotai mon poison. Dans ce grand fourbi, je n’eus même pas l’envie de me masturber aux toilettes et une seule question trottait dans ma tête. Aurais-je le courage de l’appeler ? 
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