ça fait tout drôle! (1)
Datte: 17/08/2018,
Catégories:
Divers,
... regrette juste de ne plus avoir vingt ans. Je la couche sur moi, la caresse, l’embrasse, la caresse encore, l’embrasse encore et l’aime à en crever. Je retrouve mes sensations d’antan, je retrouve ma fougue et celle de Sybile avec sa fille. Enfin, jusqu’au moment où elle jouit en me criant de lui faire un enfant, là, elle me coupe tous mes moyens. Cela étant, me délaissant quelques heures ce dimanche matin, je fais un peu de ménage quand je tombe sur la seule photo de ma Sybile nue, elle était coincée depuis des années dans une fente de ce vieux vaisselier. Un vieux polaroid que j’avais complètement oublié. Quand Caroline revient, je suis assis par terre, la photo dans les mains et, comme quand j’étais sans ma Sybile, je me branle. Caroline lâche ses bagages, me rejoint et découvre le corps nu de sa mère très jeune. « Tu vois, c’est tout ce qui me restait de ta mère après son départ. Même mon ex-femme ne l’a jamais vue. Avec le temps, je l’avais oubliée. Et voilà que je la retrouve presque...oh putain, tellement d’année. Si elle m’avait écrit, j’aurais sauté dans le premier avion pour l’enlever, l’aimer et la fesser des jours durant pour m’avoir quitté sans un mot, sans rien me dire. Oui, je crois que je me serais montré cruel avec ta mère parce que j’en étais fou, que j’en suis encore fou. » Tellement de souvenirs sont ressortis de leur cachette, de l’oubli dans le quel je les avais cachés. C’est cruel pour moi, trop peut-être. Caroline se colle à moi, me prenant cette ...
... photo. D’une valise, elle me sort un ordinateur. Une fois en fonction, Caroline me montre toutes les photos de sa mère avec son mari, sa fille Caroline. Je découvre une femme paraissant heureuse de vivre. Pourtant, en y regardant de plus près, il me semble y voir aussi de la tristesse dans son regard. Caroline scanne ma photo, l’enregistre dans son ordinateur, la retravaille pour lui donner son clinquant d’antan. Puis, elle se dirige vers mon ordinateur, déconnecte mon imprimante qu’elle relie à son ordi et m’imprime la photo sur un papier prévu à cet effet. Je découvre ma Sybile en plus grand et je bande à nouveau en découvrant son corps, ses détails, cette beauté faite femme. Ma main sur la croupe de Caroline, je l’embrasse tendrement, presque amoureusement. Je finis par lui confier qu’elle peut rester autant qu’elle le désire et c’est un moment de folie qui commence chez Caroline. Elle danse, jetant ses fringues aux quatre coins de mon appartement et me revient, entièrement nue, lascive, avenante quand elle prend mon sexe dans ses mains. Sa bouche se fait douce, affable quand elle va et vient sur mon sexe qui se tend entre ses lèvres. Et puis, il y a cette langue délicieuse qui joue avec mon sexe. Je fonds, je craque, je l’appelle Sybile, j’en oublie Caroline. Elle m’avale quand je me déverse dans sa bouche. Sa bouche qui quitte mon sexe pour descendre sur mes pieds avec sa langue qui glisse sur mes cuisses, mes genoux avant de lécher mes orteils que ses lèvres sucent ...