1. ça fait tout drôle! (1)


    Datte: 17/08/2018, Catégories: Divers,

    ... remplis le formulaire attenant. Il me faut encore le faire certifier par les autorités, un détour par le contrôle des habitant suffira, et le renvoyer sans tarder. Caroline rentre quand je termine de remplir ce formulaire. « C’est au sujet de maman ? » bsnbooty « Oui, et elle savait où je vivais à en croire cette lettre, mais comment ? » « Par un ami de mon père, il travaillait ici à l’ambassade du Chili et sachant que maman vouloir te retrouver, elle lui avait demandé de te retrouver, ce qu’il a fait. Malheureusement, le cancer est passé par là avant qu’elle ne puisse rentrer. » On se prend dans les bras et le désir né, l’envie vient, se propage et on se couche sur le canapé, elle sur moi, nous baisons comme des dingues. Nous jouissons ensemble, d’une même voix. Puis, elle se couche en travers de mes cuisses et je la fesse comme je fessais sa mère, avec amour. Elle en veut des plus fortes, qu’à ça ne tienne, je fesse plus fort et plus fort si elle en veut des plus forte encore. Son cul est divinement rouge. Je le soulève, l’embrasse, je glisse un doigt dans son anus, elle gémit de bonheur. J’insiste avec deux doigts, Caroline m’invite à la sodomiser. Mes cuisses giflent ses fesses, ma queue va et vient avec toute la puissance que je peux donner. Elle jouit me disant que c’est bon et elle ajoute cette très courte phrase qui me met sur le toit : « Je t’aime mon bourreau des cœurs ! » je jouis dans ce cul si mignon, je me vide de tout, même de mes forces. Je la retourne, lui ...
    ... colle ma bouche sur la sienne. C’est plus fort que moi, j’emprisonne ses bras dans son dos en lui intiment l’ordre de ne plus jamais me quitter. Son sourire est fantastique, il est...non, décidément, les mots me manquent ou il me faut en inventer de nouveaux. Notre fougue nous reprend, je retrouve cette énergie perdue, on baise comme des porcs, y pas de mots plus sale pour dire ce que nous faisons sur ce canapé. Je sais que nous avons joui l’un de l’autre, je sais que je l’ai épuisée, je sais que je ne pouvais plus, je sais que je ne connais pas la suite jusqu’à ce que mon réveil ne sonne, j’étais dans mon lit, près d’une jeune femme merveilleuse, amoureuse autant qu’on peut l’être et que je l’étais aussi. Je la retrouvais le soir venu, sensuelle à souhait, divine créature enfantée par la plus divine femme que je connus avant cette jeune femme. Elle me fit une des spécialités de son pays, je ne me souviens jamais du nom de ce plat, mais c’est bon, d’enfer même. On parle de Sybile, on lit ses cahiers, on baise, je l’attache, la fesse, la fais jouir et putain que j’aime la voir, l’entendre exploser de bonheur, hurler son orgasme dans mes oreilles toujours avides de ces cris de plaisirs. Heure après heure, je me retrouve mes seize piges. Elle se fait chienne, elle se fait soumise, elle se fait lascive, jouisseuse, elle me plait et j’en suis raide dingue depuis qu’elle arrivée dans ma vie. On n’a pas encore tout lu, bah, ça fait quoi, le 17 avril 2017 qu’elle est près de moi et ...
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