1. Le stagiaire italien


    Datte: 18/08/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, Collègues / Travail cérébral, intermast, Oral pénétratio, confession, coupfoudr, amourpass,

    ... improvisés. Dans une demi-somnolence, je sens un contact humide et chaud sur mes orteils. Ce n‘est pas désagréable, au contraire, comme un mélange de chatouillis et de caresses. Je rêve peut-être que je suis, un pied dans l’eau, au bord de la plage… Le contact se déplace, et ma plante du pied subit maintenant cette étrange sensation. J’ai dû quand même avaler un peu de sambuca pour être ainsi l’objet d’agréables fourmillements qui circulent tout au long de ma jambe. Mon mollet à son tour frémit au contact de cette étrange bête, qui monte, qui monte… Arrivée au pli de mon genou, elle m’envoie des ondes délicieuses qui envahissent mon bas-ventre. Je suis bien, c’est bon, je refuse d’ouvrir les yeux. L’audacieuse langueur s’aventure tout au long de ma cuisse, qui frémit sous la caresse. Je m’entrouvre, accueillante, oublieuse, à sa douce escalade. Arrivée sur ma fente, je la sens me laper au travers du voile de ma petite culotte. J’avance les mains et rencontre une abondante chevelure. Je gémis un grand « Non » tout en la caressant. Deux mains se glissent sous mes hanches, je me soulève un peu, le frêle tissu roule le long de mes cuisses, et la langue intrépide se glisse entre mes lèvres intimes. Je me dis que je ne devrais pas céder sans au moins un peu résister, mais quinze jours de chasteté m’ont rendue peut-être trop languissante. Je m’ouvre, avance le bassin vers l’envahisseur de ma féminité. L’objet, non volant, mais bien identifié, est entré en contact avec mon petit ...
    ... bouton, et de sa pointe charnue, joue à le faire vibrer. Je sens l’humidité qui sourd entre mes cuisses. Mes mains quittent ses cheveux, recherchent les siennes, les posent sur mes seins, et je lui dis un tout simple : — Viens ! Ses doigts s’animent, me soupèsent, m’étirent, m’enveloppent, me pincent. Sa bouche entière est maintenant en moi, mais mon corps en veut plus. J’essaie de l’attirer plus haut, mais il prend un malin plaisir à butiner ma fleur, qui s’ouvre à sa caresse. Je tire un peu ses cheveux pour sentir sur ma bouche un baiser italien, mais il résiste tant que j’abandonne, et que je m’abandonne à l’infernale succion. Je sens mes seins durcir, mon ventre se contracter, puis des ondes langoureuses me font vibrer pendant de longs instants. Lorsque je reprends conscience, mon tourmenteur a le visage tourné vers moi, et, dans la pénombre, je devine ses yeux rivés au fond des miens. Avec un grand sourire, il me dit : — Élodie, tu es encore plus belle quand tu as du plaisir ! Il m’en a donné pratiquement qu’avec sa langue, sans autre contact ! Je n’ai même pas senti la preuve de sa virilité. Est-il asexué ? J’envoie en éclaireuse une main friponne pour vérifier l’objet, et suis vite rassurée : l’explorant de mes ongles, je le sens fin et long, un peu noueux peut-être, bâti à son image. Je le frôle et l’agace, mais le sens m’échapper. Dino m’a pris les jambes, les pose sur ses épaules, je suis ouverte à lui, béante. Sa hampe vient frapper à l’entrée de ma grotte, encore ...
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