1. Le stagiaire italien


    Datte: 18/08/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, Collègues / Travail cérébral, intermast, Oral pénétratio, confession, coupfoudr, amourpass,

    ... toute humide. L’accueil est chaleureux, elle trouve porte ouverte, se glisse en moi comme si c’était son moule, progresse langoureusement, me remplit de bonheur. Repoussant mes genoux sur ma poitrine, il me plie en deux pour m’envahir jusqu’à mon utérus. Je gémis, c’est trop bon. Puis il entame un lente chevauchée, je suis comme une poupée de son, qui s’agite, pourfendue par un mâle en folie. Son rythme s’accélère, au gré de nos envies, nos corps se tendent, vibrent, sa semence m’envahit, je suis au nirvana, nous gémissons ensemble, nos sucs mélangés, nos êtres entre eux soudés. Nous retombons tous deux, toujours encastrés l’un dans l’autre. Nos corps sont en sueur, mais nos âmes apaisées. Je suis bien, je veux rester ainsi le plus longtemps possible. Au bout d’un bon moment, le petit oiseau glisse malheureusement hors de la cage où je l’avais enfermé, et un sentiment soudain de vide en moi me sort de ma torpeur. Dans un élan de réalisme qui m’étonne moi-même, je lui susurre : — C’était mieux avec Sandrine ?— Oh, non, avec Sandrine, c’était bien trop facile, le jeu déjà joué et, en plus, toi, tu es bien plus serrée. J’éprouve un curieux sentiment, comme de la jalousie. Il a donc baisé ma copine, et c’est mieux avec moi parce que je suis étroite ? Enfin, je ne veux pas l’être d’esprit, mais quand même ! Il m’arrache à mes curieuses élucubrations post-coïtales en me prenant dans ses bras et en me portant, vulgaire fétu de paille dans ses grands bras, jusque sous la douche. À la ...
    ... lueur blafarde de la lampe, nous faisons mieux connaissance de l’anatomie de l’autre, de ses parties intimes surtout, sur lesquelles se concentrent nos savonnages réciproques. J’ai un petit avantage sur lui, car il ne sait trop s’il doit me laver le minou ou les seins, moi, je n’ai qu’un objectif. Sa bébête montre des signes évidents de santé sous mes soins manuels, et je prends plaisir à soupeser ses bourses, particulièrement lourdes, vibrantes et pleines de vie, facilement accessibles du fait de sa faible pilosité. Il n‘a de cesse d’ouvrir bien grand mon fruit pour en extraire un hypothétique résidu de savon à grands jets d’eau chaude. Évidemment, nos travaux pratiques nous donnent envie de remettre le couvert. Ruisselante, il me prend à nouveau dans ses bras, me couche sur le ventre, me prend par les hanches, les remonte vers lui et ouvre mes secrets de femme à son regard lubrique à la lueur de la lampe de la salle de bain. J’ai un autre projet que la contemplation, je passe une main entre mes jambes, saisis son bâton et le pose près de mon nid, puis en reculant, je me colle contre lui. L’impétueux objet réagit comme il faut, et il s’enfonce en moi plus loin encore qu’avant. Saisissant tour à tour mes hanches ou mes seins, il me chevauche d’un galop effréné. Pouliche trop excitée, je m’emballe assez vite et crie sans retenue mon plaisir de femme. Il insiste encore, accélère sa cadence et à son tour éclate en ruades échevelées. Fourbue et comblée, je me love contre lui, le ...
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