1. Le stagiaire italien


    Datte: 18/08/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, Collègues / Travail cérébral, intermast, Oral pénétratio, confession, coupfoudr, amourpass,

    ... lit est fort étroit, mais je ne m’en plains pas. Deux fois encore, en cette nuit homérique, mon jeune amant, infatigable, m’honore de ses assauts virils, deux fois encore, il m’arrache une jouissance que je n’avais jamais atteinte jusque-là. Le lendemain matin, c’est une tape contenue sur mes fesses qui provoque mon réveil. Monsieur est en caleçon, tout fraîchement rasé. Pantelante, je me traîne devant le miroir de la salle de bain : de larges cernes mauves trahissent éloquemment mes débauches nocturnes, et des marques rouges à divers endroits de mon corps, les élans non contenus de mon partenaire de jeu ! Il me presse, au sens figuré du terme cette fois, nous sommes en retard. J’ai quelque mal, dans ces conditions, à bien masquer les compromettantes séquelles de notre lubricité, d’autant plus qu’il scrute ironiquement ma séance de maquillage par-dessus mon épaule. Rentrer dans ma combinaison de moto, malgré les calories dépensées, est toujours aussi difficile et, dans un élan de galanterie, après en avoir soulevé les côtés pour y faire entrer mes hanches, il me triture les seins pour les y loger. L’épreuve suivante est de remonter sur la moto avec toutes les courbatures qui m’assaillent les reins… Nous sommes pratiquement les derniers à rejoindre le rassemblement, où un copieux petit déjeuner nous attend. Étrangement, je n’ai plus le même entrain que la veille, moi qui suis assez joueuse, lors du parcours de la matinée, ce qui m’attire quelques remarques plus ou moins ...
    ... scabreuses de la part de Dino. Nous régressons au classement, que nous terminons finalement à la dix-huitième place. Après un déjeuner tardif mais frugal cette fois, et la remise des prix (où nous raflons cependant le prix des meilleurs sketches… un jambon de Parme et de la coppa), nous reprenons la route de la capitale, sans trop être en convoi. J’en profite pour me livrer à de plus ou moins innocents jeux de main sur le bas-ventre de mon motard en le serrant de mes bras. Mon petit jeu a assez vite l’effet escompté sur son membre, qui réagit comme il se doit à mes sollicitudes. Un peu excédé, il me demande à plusieurs reprisesde ne pas le tenir par là (ou, du moins, avec le bruit, c’est ce que je crois comprendre). Je souris intérieurement : il s’est révélé être un amant magnifique malgré son âge et son caractère, et il me plaît dele tenir par là dans tous les sens du terme. Finalement, trop sensible, il s’arrête sur une aire de repos et, après avoir garé la moto, m’entraîne à l’écart vers le grillage périphérique. Une fois éloignés, nous nous arrêtons et d’un geste éloquent il me fait ouvrir sa combinaison pour y découvrir son sucre d’orge en tenue de combat. M’agenouillant devant lui, je le dégage et le prends en main, alternant des exercices de type flûte traversière et esquimau glacé. Dino abaisse le haut de mon zip et, échappant par moment à mes gâteries buccales, fait glisser son machin entre mes seins comprimés. Il lâche finalement dans ma bouche un étincelant feu ...
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