Le stagiaire italien
Datte: 18/08/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
cérébral,
intermast,
Oral
pénétratio,
confession,
coupfoudr,
amourpass,
... d’artifice au goût acre ; malgré le programme chargé auquel il a été soumis, le flot reste important, et une bonne partie termine sa course sur mes seins et ma combinaison ! J’en enlève comme je peux le plus gros, mais pique un violent fard lorsque nous revenons, car j’entends les réflexions plus ou moins flatteuses en diverses langues des routiers garés à proximité de notre bolide. Je me demande si notre petite escapade champêtre n’a pas été l’objet d’une surveillance à distance. Je suis complètement fourbue lorsque nous arrivons de nuit, à Paris. Dino insiste pour rester chez moi, ou plutôt chez nous, j’allais oublier Stéphane. Je finis par céder. Je lui prépare un léger dîner, il exige que je sois intégralement nue pour le lui servir. Ses yeux et ses mains en profitent chaque fois que je suis à leur portée. Il me fait ensuite l’amour presque chastement si j’ose dire, à la missionnaire, et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre comme un couple de vieux amants. Au cours de la nuit, tendrement lovée contre son torse, je me remémore l’enchaînement des événements de ce week-end fou, où l’assistante modèle que je devrais être s’est laissée aller dans les bras de son jeune stagiaire tout juste majeur, et où elle a joui plusieurs fois sous les coups de boutoir de ce fougueux étalon. Je me dis que ce ne peut être qu’une parenthèse, et que je dois remettre les choses à leur place dès le lendemain matin. Lorsque je m’éveille, Dino dort encore. J’arrive à échapper à ...
... l’emprise de son corps sans le réveiller. Je jette un long regard à son visage d’ange endormi entouré de ses longues boucles brunes, à ses pectoraux glabres et puissants, à son sexe qui m’a donné tant de plaisir et qui repose, recroquevillé, sur ses bourses gonflées. Ce ne sera plus pour moi, mais pour une autre ! Je reviens avec du café et des tartines beurrées et, cette fois, c’est moi qui le réveille avec une petite claque sur la fesse. Il sursaute, et me transperce de son regard de dieu grec. J’ai pris le soin de mettre une robe de chambre bien fermée. Il se jette sur son plateau, je m’assieds au bord du lit, et lui dis : — Dino, je voudrais te dire deux choses…— Vas-y, me répond-il en avalant une tartine.— D’abord, je veux que ce qui s’est passé ce week-end reste un secret entre nous, j’ai une réputation à défendre au bureau !— Pas de problème, grommelle-t-il entre deux bouchées.— Ensuite, notre liaison est contre nature, je vis avec un homme, tu as neuf ans de moins que moi et ton avenir est vers Milan. Donc, notre histoire doit s’arrêter là, et elle restera pour moi un merveilleux souvenir. Il se cabre à mes mots, se redresse et tente d’attraper l’ourlet de ma robe de chambre. J’esquive et me réfugie dans la salle de bain. À travers la porte, je l’entends : — Élodie, je voudrais te dire que tu es la femme la plus femme que j’aie jamais connue, et je ne te laisserai pas m’échapper ainsi. Je me pomponne et m’habille dans la salle de bain, je l’entends se calmer et faire de même ...