1. Le stagiaire italien


    Datte: 18/08/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, Collègues / Travail cérébral, intermast, Oral pénétratio, confession, coupfoudr, amourpass,

    ... inimitable voix grave à l’accent si chantant. Sa main revient à la charge, je me renfrogne, elle repousse l’ourlet de ma jupe. Je ferme presque les yeux, ce contact m’électrise, des ondes langoureuses irradient mon bas-ventre. Il me susurre : — Gare toi là, en me désignant une place le long d’un square. J’obtempère malgré moi, je peine à faire mon créneau. Il se penche vers moi, pose ses lèvres sur les miennes, sa langue m’envahit, tel un sexe bandé. Tout tourne autour de moi, je retrouve son odeur, le goût de son haleine, la douceur de sa peau. Ses mains s’activent dans mon corsage, ses doigts glissent sous mes bonnets, il me caresse un sein, et le sort de sa prison de dentelle. Mes (bonnes ?) résolutions fondent, tel l’iceberg échoué au centre du Sahara. — Non, Dino, pas ici, je t’en prie, on peut nous voir ! dis-je en essayant de remettre l’impétrant à sa place.— Allons chez moi alors, me répond-il avec une voix dont le ton assuré me surprend. Pendant tout le trajet, sa main dessine des arabesques tout au long de ma cuisse jusqu’au bord de mon string, déclenchant des frissons que je ne parviens pas à cacher. Nous arrivons chez lui et, au cinquième étage, quand s’arrête l’ascenseur, je me retrouve seins à l’air, toute dépoitraillée, le string sur les cuisses. Heureusement pour moi, personne sur le palier ! Une fois la porte passée, il me prend dans ses bras, me dépose sur sa couche, m’ôte le peu qu’il me reste, et m’embarque pour Cythère. Mon sexe, entrouvert, n’attend ...
    ... plus que le sien, il me ramone, me baise, me pourfend, je crie tout mon bonheur. Mon être vibre à ses coups, j’étais en manque de lui. Il sait, comme nul autre, faire vibrer toute ma féminité. À part quelques coups de téléphones le samedi matin pour annuler mes engagements et une escapade l’après-midi, pour chercher sa moto, quelques effets pour moi, et de quoi grignoter, nous passons le week-end sous sa couette. Il m’a prise, reprise, et encore reprise, par tous mes trous, moi qui n’aime pas trop par derrière. Mon jeune amant est d’une fougue incroyable, sa fontaine de semence une source intarissable. Jamais, je n’avais connu d’homme aussi vigoureux, et exploré ainsi tous les recoins de son corps. Même dans sa petite baignoire, je subis ses assauts, mes muscles vaginaux s’en souviennent encore. Le dimanche soir, assez tard, je demande rémission, et retourne chez moi, amoureuse et comblée. J’ai décidé de quitter Stéphane. Je constate, étonnée, que la rupture ne se passe pas trop mal. Seul ombre au tableau, son père m’appelle, regrettant notre séparation. Lui, je l’aimais bien, à l’inverse de sa femme, véritable harpie. Je m’installe, malgré toutes mes valises, dans le tout petit loft occupé par Dino, et je vis un mois de juin comme une longue lune de miel. Outre un amant hors pair, c’est un compagnon merveilleux, galant, attentionné et fin cuisinier. Je me rends compte de sa fierté de s’afficher au brasd’une vieille comme moi devant tous ses copains qui n’ont que des minettes ! ...