Balade à Lille
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
jardin,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
amiamour,
lieuxpubl,
... vers moi, il ajoute : — Quoique… quoique…— Quoique quoi, mon lapin ?— Et puis, c’est vrai, ça ! Il s’approche de moi, me capture par la taille, puis m’entraîne vers l’escalier. Mon mari descend déjà les marches. Moi, je suis surprise par la tournure des événements ; mais qu’est-ce qu’ils ont bien pu se dire ? Pour l’instant, je profite du fait que je suis collée contre Valentin, et finalement, contente de son initiative. L’escalier fait un coude ; c’est alors que mon voisin me met posément la main aux fesses ! — Mais…— La fortune sourit aux audacieux. Et il n’y a personne derrière nous.— Peut-être, mais quand même !— Tu n’as pas l’air de te débattre beaucoup !— Je ne suis qu’une faible femme ! Donc je ne peux que subir !— Quand ça t’arrange… Alors que nous sommes au milieu du dernier tronçon, c’est sous ma jupe que la main de Valentin vient se perdre ! Pour quelqu’un qui ne devait pas du tout craquer en tant qu’homme parfait, je trouve qu’il se laisse beaucoup aller ! Posément, il me caresse les fesses, éprouvant leur volume, les soupesant, les massant, prenant possession de mon petit cul. Honnêtement, j’aime beaucoup ! Et je me laisse faire sans aucun problème ! Il ose même s’aventurer un peu dans le sillon de mes fesses, frôlant délicatement mon entrée toute ronde et sombre. Je frémis… Je me demande s’il se risquera à continuer un peu plus loin… Un doigt un peu plus aventureux s’enfonce légèrement dans ma fente détrempée, se chargeant de cyprine. Il y reste un peu, puis ...
... remonte lentement, très lentement entre mes fesses. C’est tellement bon que j’en vibre ! Puis le bout de ce doigt entreprenant vient épouser l’arrondi de ma petite cuvette frémissante qui s’écarte légèrement. Une brève hésitation, puis ce doigt inquisiteur me taquine éhontément l’entrée des artistes ! Si je me laissais aller, je m’empalerais sans vergogne sur ce mini pieu narquois ! Il reste là quelques instants, puis s’éloigne. Je suis un peu déçue, mais il est vrai que l’endroit ne se prête guère aux marivaudages !« Ah, pourquoi Valentin n’a pas voulu venir chez moi ? Je te l’aurais violé de long en large ! » Toujours collé à mon lapin qui a remis sa main baladeuse autour de ma taille, nous remontons toute la gare ; c’est long, mais au moins il fait bon, ici. Le train de Valentin est indiqué ; il arrive dans quinze minutes. Je propose d’aller boire quelque chose, une dernière fois. Nous dénichons une table libre et nous commandons nos boissons. — Ça y est, c’est fini. Tu rentres chez toi, là-bas au loin, mon lapin !— Tu es triste ?— Ouiii, je suis triiiste ! Et je pose ma tête sur son épaule. Je reste ainsi quelques secondes, silencieuse. C’est Valentin qui rompt le silence : — Étonnant de ne pas t’entendre parler !— Pff, pas romantique pour un sou ! Je me remets droite à ma place et j’observe mon voisin. Ou bien je me fais des idées, ou bien il est un peu chagrin. Il constate assez vite que je le fixe ; alors, pour se donner une contenance, il boit la moitié de son verre. ...