Travaux d'artiste (2/2)
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
couplus,
intermast,
Oral
fdanus,
fsodo,
échange,
entrecoup,
... main et son avant-bras recouvraient la toison pubienne et le tatouage. — Non ! Pas mon minou !— Tu n’aimes pas que je touche à ton minou ?— Nooon ! Charline changea soudain de tactique. — Si ! dit-elle. Oui, vas-y, touche mon minou !— Tu veux ?— Oh, oui ! Oui, caresse-le ! Mmmm, oui, j’aime bien. Vas-y, mets tes doigts ! Elle cessait de se débattre, arquant le corps pour l’offrir à la papouille de cette main qui s’était glissée dans son intimité. Lucie desserra l’étreinte de ses jambes, pour permettre à Charline d’écarter les siennes. Près de moi, Éric s’était à nouveau assis sur son tabouret. L’envie de siffler la mi-temps avait dû lui passer. Lucie ne tenait plus Charline, qui redoublait de petits cris de plaisir et de paroles d’encouragement à la caresse. Elle avait pivoté sur le dos et sa blouse s’était complètement ouverte. Elle se caressait les seins sans retenue tandis que Lucie, appuyée sur le coude à côté d’elle, s’occupait de son ventre et de son entrejambe. Elle souleva les reins pour que Lucie la débarrasse plus facilement de sa culotte, et puisse la toucher à son aise. — Oh oui, encore, murmurait Charline. Oui, encore, vas-y ! Elle m’étonnait. Je la connaissais suffisamment pour savoir qu’elle exagérait, elle qui parlait d’ordinaire très peu pendant nos ébats, même si le plaisir qu’elle prenait à la situation n’était pas tout à fait feint. Je supposai qu’elle mijotait quelque coup fourré derrière cette curieuse poussée d’enthousiasme. Je contemplai plus ...
... attentivement cette scène qui était loin de me laisser indifférent, autant sans doute que mon voisin qui avait remballé définitivement le sifflet et les cartes jaunes. Charline pivota à son tour sur le coude, et je la vis qui repoussait doucement Lucie pour la caresser. Lucie la laissa faire, s’allongea sur le dos et souleva les fesses pour permettre à Charline de lui enlever son slip. Je ne voyais plus leurs gestes, car Charline nous tournait le dos et masquait à notre regard la plus grande partie du corps de son amie. Finalement, je vis les bras de Lucie se tendre et le tee-shirt blanc s’en alla rejoindre les autres vêtements sur le lino. — La méthode douce a du bon, chuchota Éric.— Oui. Charline peut se montrer très persuasive, répliquai-je sur le même ton. Lucie lançait à présent à son amie des petites paroles d’encouragement, pendant qu’elle la caressait. Je voyais ses jambes remuer. Charline se redressa, lui prit les mains et elles se retrouvèrent debout face à face, se frottant dans un délicieux corps-à-corps et laissant courir leurs mains sur leur peau. Lucie fit glisser au sol la blouse de Charline, et elles furent toutes deux complètement nues et étroitement enlacées, secouées par un rire complice. Elles tournèrent vers nous des visages hilares. — Ça va, vous deux ? nous lança Charline.— Ils matent, qu’est-ce que tu crois !— Ah, oui ! Les mecs, ça se rince l’œil sans se faire prier, mais question de se fatiguer un petit peu, c’est autre chose !— Tant qu’ils ont de la bière… ...