Travaux d'artiste (2/2)
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
couplus,
intermast,
Oral
fdanus,
fsodo,
échange,
entrecoup,
... voyageaient de plus en plus près des zones les plus sensibles, de la pointe des seins à la naissance de l’entrejambe. Lucie déplaça un pied, se trémoussant et écartant les quilles pour faciliter la montée de ma main entre ses cuisses, par l’arrière. Son odeur de femme montait vers moi, me rappelant que je commençais également à m’échauffer. J’effleurai bientôt une région humide, mes phalanges s’engageant doucement entre les fesses de Lucie, et elle frissonna lorsque je les fis remonter vers le haut, jusqu’aux reins. Un bref regard vers la salle de séjour me donna une idée. Je soulevai tout à coup Lucie en me levant de mon tabouret, et elle poussa un petit cri de surprise en s’accrochant à mon cou, par réflexe. Je sentis son corps se raidir contre le mien, mais elle riait sans se débattre alors que je l’emmenais dans le living, où je la couchai sur un des poufs en forme de poire. Elle se détendit immédiatement et se laissa aller en arrière pendant que je me débarrassais de ma chemise. Quand je me mis à genoux et me penchai sur elle, elle écarta spontanément les gambettes, attirant des deux mains ma tête vers son ventre tandis que mes doigts cherchaient ses doudounes. — Tu as de bonnes idées, pour un grand timide, apprécia-t-elle. Je remontai rapidement vers son visage, rencontrai son regard assombri par l’éclairage rasant qui provenait de la cuisine et accentuait creux et reliefs. — Le grand timide, c’est aussi un gros gourmand, lui jetai-je avant de m’emparer de ses seins ...
... et de les embrasser l’un et l’autre tour à tour. Mes mains caressaient et pétrissaient, tandis que ma langue tournait autour des mamelons dressés, que je serrais ensuite doucement entre mes lèvres. Lucie tenait ma tête, essayait de la diriger, poussant par-ci, tirant par-là, en m’encourageant par des murmures de plaisir et d’impatience. Je sentis ses jambes accrocher mes hanches et les tirer vers l’arrière en même temps qu’elle poussait sur mon crâne. Ma bouche partit à la découverte de son ventre, frôla au passage l’étrange petit dragon, puis la toison pubienne, avant d’atteindre l’aine. Du bout de la langue, j’en suivis lentement la courbe, de l’extérieur vers l’intérieur, jusqu’à ce que mon nez rencontre le chatouillement des poils et la senteur épicée du sexe chaud. Lucie cambrait les reins et se soulevait pour mieux s’offrir aux caresses buccales, accompagnant ses mouvements d’un murmure d’encouragements et d’onomatopées m’incitant à m’enhardir dans l’exploration de son corps. Je devinais qu’elle faisait néanmoins des efforts de retenue, non pas que le traitement que je lui appliquais la fît grimper au plafond, mais parce que sa nature exubérante et son tempérament explosif devaient habituellement l’amener à manifester bruyamment ses émotions et ses envies. Avait-elle soudain peur qu’on l’entende ? J’ignorais où se trouvaient Éric et Charline, et le savoir ou non ne m’inquiétait nullement. Étrangement, toutes mes appréhensions s’étaient envolées à tire-d’aile quand Lucie ...