Travaux d'artiste (2/2)
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
couplus,
intermast,
Oral
fdanus,
fsodo,
échange,
entrecoup,
... plus en plus marqués et virant à l’écarlate devenaient plus clairs et plus vifs, jusqu’à flamboyer dans un jaune-orangé du plus bel effet. Les écailles de la poitrine semblaient se soulever, comme poussées de l’intérieur par le cœur de feu du petit dragon. Sa tête sombre était éclairée par des prunelles jaune doré, et un peu de jaune-orangé filtrait de dessous les écailles et de la gueule entrouverte. Il ne se dégageait cependant de l’animal aucune agressivité. Il avait plutôt l’air de sourire. J’étais béat d’admiration, et songeais que Ben devenait de plus en plus audacieux dans ses réalisations. Je levai le bras et promenai prudemment les doigts sur le tatouage. Lucie remarqua mon hésitation et s’en amusa. — Non, il ne brûle pas, dit-elle. Et il aime bien quand tu le touches. J’étais accoutumé à la franchise de Charline, mais la spontanéité et l’apparente naïveté des propos directs de Lucie m’émoustillaient. Quand je passai une main derrière ses jambes et la posai sur ses fesses, elle approcha son ventre de mon visage, et j’eus l’impression que le joli dragon me regardait avec un sourire provocant. Ces tatouages sont prodigieux, pensai-je. Je me souvins tout à coup de la scène brûlante que Charline m’avait rapportée, et supposai que Lucie devait apprécier pour elle-même le genre de gâteries dont elle avait fait bénéficier Charline. Je laissai courir mes doigts sur son ventre et la courbe de ses reins, constatant au passage l’étonnante fermeté de la chair de cette femme qui ...
... m’était apparue de prime abord comme une petite boule de nerfs, ce qu’avait confirmé l’épisode de la vieille tour, mais qui se révélait être surtout un fameux paquet de muscles. La facilité avec laquelle elle avait immobilisé Charline me persuadait que, malgré un incontestable supplément de poids et de taille, je n’aurais certainement pas le dessus dans une lutte au corps à corps avec ce bâton de dynamite. Je m’enhardis dans la méthode douce, promenant les mains le long de ses hanches, sur son abdomen et ses cuisses, lui palpant les fesses de l’autre côté. Elle émit un petit rire lorsqu’elle envoya une de ses menottes sur ma tête pour me triturer les cheveux, et je l’attirai un peu plus vers moi, ma joue posée contre le haut de sa jambe. J’avais le nez tout près du tatouage, et dus loucher pour voir les yeux du dragon, jaunes et bridés. Mes doigts s’enhardirent en direction des poils pubiens, qui avaient la couleur brun chaud d’un feuillage à l’automne, puis coururent le long de l’aine, juste un peu, pour remonter ensuite sur le ventre, jusqu’au nombril, puis plus haut où ils suivirent la courbe d’un sein, la comparèrent avec celle du second, puis plongèrent vers le bas. J’insistai cette fois un peu plus sur le pubis, tandis que mon autre paluche palpait la chute de reins, les fesses dont elle pétrissait la chair, puis descendait taquiner l’arrière des guibolles. J’atteignis le creux des genoux, puis repartis entre les jambes, lentement, pendant que de l’autre côté mes doigts ...