Confidences
Datte: 29/07/2017,
Catégories:
init,
ff,
copains,
amour,
cérébral,
Masturbation
... plutôt comme la fille un peu coincée qui ne trouvait pas de mecs parce qu’elle avait trop peur d’eux. Ne le prends pas mal surtout ! La petite étudiante se retourna alors sans prévenir et vint se placer contre Charlotte qui sursauta légèrement et fixa sa camarade, tout intimidée. — Excuse-moi Lise, je voulais pas t’insulter je t’assure, dit-elle d’une voix tremblante. Lise posa sa main sur la chemise de nuit de Charlotte. Elle pouvait sentir les reliefs de la poitrine de la jeune femme. Elle effleura les tétons pointus dans une caresse lente et mesurée, elle plongea son regard dans celui de Charlotte puis, elle entrouvrit la bouche en laissant s’échapper un soupir d’excitation à peine audible. Lorsque devant cette expression orgasmique feinte, Charlotte se sentit troublée et se mit à rougir, Lise lui adressa un sourire coquin. — Dans l’intimité, entre filles, je ne suis pas coincée, je peux te l’assurer, jolie blondinette, lui souffla-t-elle d’une voix mielleuse. Lise revit devant elle ce tableau invraisemblable dans lequel Charlotte, méconnaissable, tremblait comme une feuille et affichait un regard indéchiffrable. — Attends… je ne sais pas si je suis prête pour ça. Je n’ai jamais fait ça avec une fille. Tu es très mignonne Lise mais je ne pense pas en avoir très envie maintenant. Lise posa son menton sur l’épaule de sa camarade, elle fit courir ses doigts de pianiste sur son bas-ventre, et lui murmura : — Si tu ne veux pas que je t’apprenne quelques trucs utiles, alors tu ...
... peux peut-être m’en dire plus sur ce que tu ressens pour Inès. Tu fantasmes sur elle ?— Oui, souffla Charlotte, hésitante.— Alors raconte-moi, poursuivit Lise, la voix vibrant d’excitation. Je te dirai si tu es faite pour aller avec les filles, conclut-elle avant de faire un clin d’œil à sa complice. Charlotte hésitait toujours et continuait de trembler comme une enfant intimidée par une promiscuité inhabituelle. Elle fuyait volontiers le regard de Lise, laquelle en profita pour lui mordiller l’oreille et l’embrasser une nouvelle fois sur la joue. Au moment où la main baladeuse parvint à se faufiler jusqu’à hauteur de ses hanches, à caresser cette peau douce et chaude, elle réagit : — Tu ne lui diras rien… bégaya-t-elle.— Rien ne sortira de cette chambre, répondit Lise dans un petit rire taquin. Ferme les yeux jolie blondinette, et laisse-toi aller, c’est tout, lui souffla-t-elle. Charlotte prit une profonde inspiration et ses paupières s’alourdirent. Elle tressaillit, puis, elle se mit à décrire les tableaux qu’elle visualisait : — Je grimpe sur ma moto, Inès monte derrière et elle s’accroche fermement à ma taille et elle se cramponne. Je l’emmène loin… loin… et quand je la dépose, elle me regarde. Je la regarde moi aussi et on se rapproche, on se rapproche… et je l’embrasse…— Et comment elle embrasse dis-moi, enchaîna Lise tout en promenant ses longs doigts atour du nombril de sa colocataire.— Elle embrasse comme une vraie salope, continua Charlotte dans un murmure calme ...